Photo de Harvey Sapir sur Pexels.com

Je partage avec vous ce beau discours fait par un docteur spécialisé en soins palliatifs, déclamé le 13 Septembre 2020 à Annecy, lors du Grand Rassemblement pour nos libertés.

Ce médecin, dont le nom n’a pas été communiqué sur la vidéo, nous résume la situation sanitaire depuis le début, ainsi que les dérives politiques et spirituelles. Je vous aussi invite à en lire la transcription ci-dessous :

« (Introduction) Effectivement, je ne savais pas trop en quel nom j’allais intervenir. Je suis médecin spécialisée dans les soins palliatifs et l’accompagnement de fin de vie. Donc la mort, c’est quelque chose que j’accompagne et qui fait partie effectivement de ma vie. Mais finalement, j’ai pas choisi de vous parler de la mort aujourd’hui  et, du coup, je vais vous parler d’autre chose. (ce qui suit est une lecture).

Ce grand rassemblement pour nos libertés s’est annoncé comme festif, pacifique et solidaire. Comme il est bon et précieux de sentir la joie, la bienveillance, la fraternité qui nous rassemblent aujourd’hui, au-delà de nos différences, de notre diversité. Comme il est bon d’avoir un espace de parole libre ! Et qu’en est-il justement de ces libertés qui nous ont fait rassembler ?

Cette crise que nous vivons, au démarrage d’ordre sanitaire, a conduit à la mise en place de restrictions multiples, en commençant avec notre confinement. Les restrictions d’aller-venues entre nos pays, nos régions, mais aussi dans nos familles, avec la limitation et l’interdiction de visite et d’assistance jusqu’à l’abandon de nos anciens dans les EPADH. Je peux vous dire que j’étais sur le terrain, nous leur avons donné la main, ils étaient seuls et leurs proches n’ont pas pu les accompagner. Quelle injure faite à la dignité humaine !

Mais il y a aussi, bien sûr, l’imposition du masque dans maints lieux et situations de vies, heureusement, nos filles ont grandi, elles ne sont plus à l’école et au collège, elles sont capables de penser et de faire des choix engagés.

Bien sûr, l’interdiction de prescription pour les médecins, la sélection d’informations dans les médias, l’incitation à la dénonciation et à la sanction pour qui ne respecte pas les règles. La liste est longue et la question du bien-fondé de ces mesures nous séparent les uns et les autres, alors que nous aurions tant besoin de nous réunir. Car si nous sommes mobilisés aujourd’hui, nous avec nos pancartes, c’est que nous voyons ces mesures comme le bafouement de nos libertés, tandis que d’autres, et vous êtes vraiment bienvenus parmi nous, voient plutôt en nous un danger, une menace, nous qui dénonçons ces mesures annoncées protectrices de notre santé par les autorités et les médias officiels.

A ces autres, je pourrais dire que notre position, notre sentiment, s’appuient sur des éléments factuels, réels, que nous sommes ultra connectés, informés, que nous passons des heures chaque jour, et nos chers lanceurs d’alerte, bien souvent leurs journées, à chercher, à comprendre, à se renseigner. Nos sources sont multiples, documentées, scientifiques, analysées, partagées, censurées (applaudissements).

Pourquoi donc cette censure ? Je pourrais aussi vous dire que l’épidémie est finie, qu’il n’y a aucune justification médicale à dépister des gens asymptomatiques, sans aucune distinction. Nous n’arrivons plus à tester les gens qui sont symptomatiques  actuellement.

Je pourrais aussi vous dire que la balance bénéfice-risque du port du masque est bien sûr négative. Aucune preuve scientifique de son efficacité dans le contexte actuel. Et tant d’effets délétères. Et la peur est bien sûr, un gros facteur d’immuno-dépression, de maladie, de repli, de séparation, que notre système immunitaire est d’une complexité et d’une intelligence infinie, qui ne peut être réduite à de simples anticorps.

Mais à ces autres, qui pensez que nous sommes égoïstes et dangereux pour vous, il y a tant de choses à dire pour essayer de partager, de convaincre, mais à quoi bon ? Quel est le poids de ces propos si vous avez décidé de suivre les autorités et les médias officiels qui disent le contraire ?

 Alors, ce que j’aimerais dire aujourd’hui, c’est que «  ça prend du courage », comme dirait Mika, ça prend du courage de sortir des sentiers battus, de questionner les référentiels, de questionner les vérités absolues avec lesquelles on s’est construits ; ça prend du courage de remettre en question la confiance aveugle dans ce qu’on nous a enseigné à l’école, à  la maison, à la fac de médecine, ou ailleurs. Oui, ce chemin de remise en question n’est pas un long fleuve tranquille ; il bouscule, au-dedans et au-dehors. Il serait tellement plus simple d’obéir, de consentir, de faire confiance.

Mais il y a quelque chose qui pousse au-dedans de nous, plus fort que la peur. Il y a quelque chose qui pousse plus fort que la peur de quitter le groupe, de déranger, d’être jugé, rejeté. Plus fort, bien sûr, que notre peur de mourir. Cette peur qui nous a fait exclure la mort de notre société. Une peur qui finit par nous empêcher de vivre. Et ce qui pousse, je crois que ce sont les forces de vie, de vérité, d’amour en nous (applaudissements).

Cette crise n’est plus une crise sanitaire, nous le savons. Ni même politique. Il s’agit bien d’une crise spirituelle. Nous avons le choix de nous ouvrir à nous-mêmes, à notre souveraineté individuelle, nous avons le choix de nous informer différemment, de penser, de questionner, et de nous mettre à l’écoute, non plus des autorités extérieures qui gouvernent nos vies, mais bien de notre intelligence intérieure, de nos intuitions. Nous avons la possibilité de nous mettre à l’écoute de notre bon sens, et de notre cœur. Reprenons notre liberté de choisir et d’agir. Non pas en nous jugeant et en nous séparant les uns des autres, mais en faisant ces choix avec discernement et conscience, fidèles à qui nous sommes : des êtres libres, des êtres de lumière. Revenons à nous-mêmes, à notre propre pouvoir, à notre dignité d’êtres humains alignés, en paix avec nous-mêmes et les autres et en réelle capacité d’aimer. Merci. »

Anonyme, Grand rassemblement régional festif, pacifique et solidaire pour nos Libertés, Annecy, 13 Septembre 2020.

Photo de Josh Sorenson sur Pexels.com

Ce discours me réjouit au plus haut point, car je ressens que c’est bon, doux et juste; je le partage et en effet, je prends beaucoup de mon temps actuel pour vous partager toutes ces bonnes nouvelles. D’une part parce que cela me fait du bien, d’autre part, parce que je sais que nous vivons dans un monde holistique que l’on peut comparer à un hologramme, et que lorsqu’une cellule de ce monde est « infectée » par une information, celle-ci peut alors se propager rapidement, au-delà de l’espace et du temps. Les informations lumineuses peuvent se propager rapidement, surtout si vous aussi, vous décidez de les propager.

J’ai partagé le film Thrive II avec vous pour les mêmes raisons. Ne vous inquiétez pas, il y aura une traduction en français. Je vous invite vivement à vous le procurer ainsi qu’à le partager autour de vous.

Sur ce, je vous souhaite beaucoup de joie et de succès, et vous invite encore une fois à nous rejoindre. Vous pourrez commencer immédiatement à suivre le cours en ligne « Je choisis la joie, j’optimise ma vie », pour apprendre à vous focaliser sur la joie et voir votre vie se développer sous les meilleurs auspices : santé, relations, abondance, etc.

A bientôt et encore merci de votre visite,

Nadège Compper

Le compte à rebours commence ! Plus que 10 jours pour profiter de la réduction pour obtenir le film ! Votre rapidité est récompensée (30 ou 50 % de réduction). Pour en profiter, vous n’avez qu’à cliquer sur les images.

Expérience de première mondiale THRIVE II dans 10 jours à marquer dans votre calendrier :

Samedi 26 septembre 2020

Photo de Flickr sur Pexels.com

Nous ne sommes qu’à dix jours de la première mondiale de THRIVE II et de l’After Party gratuite en direct ! Rejoignez-nous pour un voyage autour du monde à la recherche des personnes et des innovations qui ont le pouvoir de transformer la vie de tous.

Pré-commandez maintenant

Pour rappel, vous pouvez toujours pré-acheter le film avec une réduction jusqu’à 17 heures, heure du Pacifique, le 25 septembre. À partir de 00 h 01, heure du Pacifique, le 26 septembre, le film sera lancé et disponible au prix fort.

Nous vous encourageons à regarder le film avant la soirée mondiale en streaming en direct si vous le pouvez.

After Party diffusé en direct le Samedi 26 septembre à 13 h 00, heure du Pacifique.

Après avoir regardé le film, venez célébrer avec nous à l’After Party en direct sur ThriveOn.com, YouTube ou Facebook à 13 h, heure du Pacifique.

Ne manquez pas cette After Party virtuelle organisée par Kimberly et Foster, avec des invités spéciaux, de la musique live et des mises à jour exclusives.

Nous sommes impatients de communiquer avec vous le 26.

En avant et vers le haut,

L’Équipe ThriveOn

Jusqu’au 26 Septembre, vous pouvez le commander avec 30 ou 50 % de réduction, et c’est ce que je me suis empressée de faire. Maintenant, c’est à vous vibrer de joie et de prospérer !

Si vous aussi, cette nouvelle vous enchante, partagez, partagez ce film !

Mais peut-être ne connaissez-vous pas le film Thrive, le tout premier ? Je vous le recommande vivement. Si cela peut vous donner envie de voir le II.

THRIVE: Que faudra-t-il sur Terre ?

Plus de 90 millions de vues, en 27 langues

THRIVE I est un documentaire non conventionnel qui lève le voile sur ce qui se passe VRAIMENT dans notre monde en suivant l’argent en amont – révélant la consolidation mondiale du pouvoir dans presque tous les aspects de nos vies. Tissant ensemble des percées dans la science, la conscience et l’activisme, THRIVE offre de vraies solutions, nous donnant les moyens avec des stratégies sans précédent et audacieuses pour récupérer nos vies et notre avenir.

Merci d’avance. Joie et succès à tous,

Et si vous faites partie du Club La Joie du Succès et que vous êtes dans la région toulousaine, nous aurons peut-être l’occasion de regarder ce film ensemble dès que possible. Vous venez ?

Nadège Compper

Sourire, c’est une expression de la joie, donc oui, je suis d’accord avec ce chirurgien (voir la vidéo) !

A l’heure où nos enfants sont obligés de porter le masque toute la journée, alors que les masques sont « obligatoires » dans les entreprises et les magasins, et même dans les rues, sous peine de recevoir une amende, il est important d’avoir les bonnes informations pour savoir si ce que l’on nous re-commande est juste et justifié.

Heureusement, certains médecins commencent à parler et à affirmer, démontrer même, que toutes ces recommandations sont totalement inadaptées à la situation. Quand on pense à toutes les dérives, toutes les contraventions, les violences contre ceux qui ne portent pas le masque, les maltraitances des enfants dans les écoles (jusqu’à 11 kgs sur les épaules, mesures restrictives pour se déplacer dans l’école, allongement des trajets dans l’établissement, etc.). Nous aurons l’occasion d’en reparler.

Ici, je partage le témoignage d’un chirurgien qui nous emmène même dans une salle d’opération, pour nous expliquer. L’infirmière dont je vous avais parlé disait la même chose.

Voici le témoignage d’un autre professionnel : « Je suis biologiste et écotoxicologue j’ai travaillé en recherche et dans l’industrie pharmaceutique pendant de nombreuse années. Voici à quoi on ressemble lorsque nous devons nous protéger d’ un virus véritablement létal. Nous devons porter une combinaison avec un système accroché à nous pour respirer. Le morceau de papier ou de tissu que vous portez sur le nez vous rendra malade à cause des moisissures, des champignons, des virus et des bactéries qui s’y accumulent et ne vous protège aucunement des virus. Les chirurgiens portent le masque pour ne pas cracher ou postillonner dans les plaies du patient… que ce soit clair. »

Je vous rappelle qu’il faut rester vigilant, et se positionner parce que si l’on regarde tout ce qui est en train de se passer, nous serions en train de nous engager (depuis longtemps) sur une pente extrêmement glissante. On voit déjà ce que cela devient dans les écoles, où les enfants ne se touchent plus et marchent en rang sur des lignes, par exemple.

« Nous avons vraiment besoin de sourire ».

Je terminerai par cette lettre ouverte, écrite par une enseignante à la retraite qui voit la situation avec le regard de l’aigle.

Photo de Flo Maderebner sur Pexels.com

« Je suis professeur des écoles et directrice à la retraite et je ne reconnais plus mes anciens collègues. Avant, quand les gouvernements nous demandaient de mettre en œuvres des mesures, des programmes qui nous choquaient, nous n’hésitions pas à manifester, à faire grève pour défendre l’intérêt de nos élèves. Aujourd’hui, j’ai l’impression qu’on vous a fait un lavage de cerveau. Etes-vous devenus des esclaves de la pensée unique ? Où est votre curiosité intellectuelle, votre sens de l’information, de la critique. On vous dit à la TV qu’un virus très dangereux nous attaque et vous ne vérifiez pas ces affirmations ? Où sont les mourants, tombent-ils dans les rues ? Quels malades gravement atteints connaissez-vous parmi vos relations ? (Je ne parle pas de ceux dits « positifs » atteints d’un vague rhume ou d’une petite fièvre…) Et cela ne vous intrigue pas ? Vous ne cherchez pas à vous informer en acceptant de donner la parole à des contradicteurs ? C’est pourtant ce qu’on apprend dans toutes les facultés : se faire sa propre opinion après avoir examiné les diverses thèses. Mais non ! Vous obéissez à des décrets, des ordres de vos ministres sans même vous demander s’ils sont légaux, s’ils n’enfreignent pas le droit et la constitution (ce qui est le cas). Cela ne vous rappelle-t-il pas les pires époques de notre histoire ? Et vous acceptez de vous transformer ainsi que vos élèves en tristes masques sans expressions ni vie… Vous risquez d’être les premiers à en pâtir (votre voix, votre respiration, vous obligeront sans doute rapidement à réexaminer la question).Mais laissez-moi vous dire ce que j’ai constaté ce matin, en passant devant un collège, à l’heure de la sortie. J’ai eu envie de pleurer. Une masse de gamins silencieux, aux yeux tristes, n’osant se toucher s’est dirigée vers moi. A l’endroit où d’habitude, après quatre heures de cours, c’étaient rires, bousculades et chahut, régnait un malaise palpable. Ahurie, j’ai vu alors trois policiers armés de fusil de guerre à la porte ! A la porte d’un collège ! Armés de fusils prêts à tirer ! Sur qui ? Des gamins qui s’embrasseraient, qui se prendraient par la main ? Mais où vivons-nous ? J’ai vraiment pris peur pour l’avenir de notre société et de nos enfants.J’ai trois petits-enfants en âge scolaire. Hier une de mes petites filles m’a montré des boutons tout autour de sa bouche et son nez et elle se plaint de maux de tête tous les soirs. Mon aîné, qui vient de rentrer en IUT, doit suivre une semaine sur deux ses cours seul dans sa chambre sur son ordinateur. Super l’ambiance fac ! Mais que faisons-nous de nos élèves, de notre jeunesse ? N’est-ce pas plus grave qu’un programme contre lequel nous nous sommes rebellés jadis ? A -ton transformé l’élite intellectuelle de notre pays, les gens capables de réfléchir, en moutons de Panurge ?Ou bien croyez-vous vraiment la publicité TV de la petite fille qui ne veut pas tuer sa grand-mère avec le méchant virus. Mais écoutez une grand-mère : « Je préfère mourir demain si je ne dois plus embrasser mes petits-enfants, les voir rire et chahuter et flirter avec leur petite copine. »Faut-il que ce soient les retraités qui descendent dans la rue pour manifester leur angoisse, leur inquiétude, non face à un virus moribond mais face à une société liberticide où on transforme les gens en robots sans sentiments ni expression derrière leur masque ? Allez-vous vous réveiller avant qu’il ne soit trop tard ? » Evelyne MELAN

En attendant, nos enfants souffrent du régime imposé dans les écoles, j’ai vu de plus en plus de témoignages fort alarmants.

Personnellement, j’attends les effets des recours judiciaires en cours auxquels j’ai participé, ainsi que le film Hold Up en cours de réalisation. Restez positifs, focalisez-vous sur ce que vous voulez, car lorsque nous nous engageons dans la peur, nous leur laissons notre pouvoir. Le covid nous aura au moins permis de voir clairement comment nous sommes gouvernés. Il serait temps de remettre ce mot en question, ne pensez-vous pas ?

Je souhaite joie et succès à tous,

Nadège Compper