Comment la cohérence cardiaque contribue à soigner le surpoids
7 idées pour retrouver son poids idéal, sereinement et joyeusement
Bonjour et bienvenue sur mon blog pour Réussir en Beauté ! Aujourd’hui, nous allons parler des effets bénéfiques de la cohérence cardiaque sur le surpoids.
Mais tout d’abord, faisons le point sur votre situation. Etes-vous concernée par une ou plusieurs des préoccupations suivantes ?
Avez-vous peur des beaux jours, ceux où l’on commence à montrer ses bras et ses jambes, par exemple pour aller à la plage, mettre de jolies robes et d’autres tenues affriolantes ?
Auriez-vous envie de mettre les vêtements que vous souhaitez, larges ou ajustés, comme ça vous chante, ou êtes-vous réduite à mettre des tenues plus adaptées à votre corpulence ?
Vous trouvez-vous séduisante telle que vous êtes ou avez-vous envie de vous cacher des miroirs ?
Ressortez-vous vos photos de jeunesse avec nostalgie, en pensant que ce n’est plus pour vous (âge, etc.) ?
Vous sentez-vous mal dans votre peau ?
Ressentez-vous la lourdeur de votre démarche, de la peine à monter les escaliers ou à sauter de joie ? Pouvez-vous sauter et danser avec légèreté et en toute liberté ?
Avez-vous tenté maints et maints régimes et autres aides pour perdre du poids et garder la ligne, mais en vain ? Vous retournez toujours à vos habitudes et l’ancien corps reprend le dessus ?
Et surtout, manquez-vous d’énergie ? Un médecin vous a-t-il déjà alertée sur les multiples risques de santé liés au surpoids ?
Ou encore, pensez-vous que la société vous « met la pression », avez-vous décidé de passer outre et de « leur » montrer combien vous vous sentiez bien avec votre corps ? Et pourtant, vous en parlez souvent, vous vous « assumez », vous vous montrez « audacieusement », vous vous comparez souvent aux autres, vous mettez la société au défi…
Cependant, si vous vous écoutez, vous ressentez une frustration au fond de vous ?
« Prenez soin de votre corps. C’est le seul endroit où vous devez vivre.
Jim Rohn
Pourtant, lorsqu’on est en accord avec son corps, on ne se cache pas mais on n’en fait pas non plus des tonnes. On le respecte, on le bichonne et on en profite avec joie. Notre corps est notre véhicule pour la vie.
Sans le forcer, j’ai réussi à perdre du poids et retrouver ma forme.
Laissez-moi vous dire qu’il n’y a aucun jugement dans mes propos. Nous ne sommes pas ici pour prôner l’amaigrissement, ni à tout prix, ni à l’extrême. Je suis avant tout une professionnelle de santé, psychothérapeute et praticienne de santé en cohérence cardiaque certifiée par l’Institut HeartMath USA. J’ai moi-même connu des problèmes de surpoids et finalement, sans le forcer, j’ai réussi à perdre du poids et retrouver ma forme.
Je ne suis pas ultra mince mais, à 57 ans, je suis revenue à une taille 38, alors que je m’étais étendue jusqu’à la taille 42 dans mes pires moments. En moyenne, on dit qu’il y a 4 kilos entre chaque taille et c’est de cela que je veux parler. Je veux parler des effets du surpoids sur la santé et c’est tout. Aujourd’hui, je me sens bien et de mieux en mieux.
Je saute en montant les escaliers et j’adore ça !
Est-ce que cela vous intéresse de vous sentir bien et de mieux en mieux vous aussi ?
Car il s’agit de notre santé, mentale, physique et sociale, et surtout, si nous avons des enfants, nous avons aussi la responsabilité de prendre soin de nous pour pouvoir prendre soin d’eux. Et au-delà, leur donner un bon exemple pour leur propre vie.
Je vais donc vous expliquer pourquoi et comment je peux vous aider à gérer votre poids en gérant votre stress et vos émotions, qui sont cachées dans la forme de notre corps…
Les troubles du surpoids ne sont pas à prendre à la légère
« L’obésité est un problème de santé publique mondial, dont l’incidence ne cesse d’augmenter. Selon l’OMS, depuis 1975, le nombre de cas d’obésité a presque triplé à l’échelle planétaire. L’obésité est associée à de nombreuses comorbidités et à une mortalité élevée. On estime que cette maladie chronique complexe augmente ainsi le risque de maladies cardiovasculaires (première cause de décès dans le monde), de diabète, de troubles musculosquelettiques, de nombreuses formes de cancers (de l’endomètre, du sein, des ovaires, de la prostate, du foie, de la vésicule biliaire, du rein et du colon…). Plus récemment, des données ont montré que les personnes en situation d’obésité étaient plus sujettes aux formes graves de Covid-19. Son impact sur la santé des populations et son coût économique et social sont donc considérables. »
Source INSERM. https://presse.inserm.fr/obesite-et-surpoids-pres-dun-francais-sur-deux-concerne-etat-des-lieux-prevention-et-solutions-therapeutiques/66542/
Des chiffres inquiétants
1. Les constats de l’OMS.
« À l’échelle mondiale, le nombre de cas d’obésité a presque triplé depuis 1975.
En 2016, plus de 1,9 milliard d’adultes – personnes de 18 ans et plus – étaient en surpoids. Sur ce total, plus de 650 millions étaient obèses.
39% des adultes âgés de 18 ans et plus étaient en surpoids en 2016 et 13% étaient obèses. La plupart de la population mondiale vit dans des pays où le surpoids et l’obésité font davantage de morts que l’insuffisance pondérale.
La plupart de la population mondiale vit dans des pays où le surpoids et l’obésité tuent plus de personnes que l’insuffisance pondérale.
En 2019, 38 millions d’enfants de moins de 5 ans étaient en surpoids ou obèses.
En 2016, plus de 340 millions d’enfants et d’adolescents âgés de 5 à 19 ans étaient en surpoids ou obèses.
On peut prévenir l’obésité. »
2. Quelques extraits de l’article de l’Inserm cité précédemment :
« Une étude menée à l’initiative de la Ligue contre l’obésité et coordonnée par des chercheurs de l’Inserm et du CHU de Montpellier, a été publiée en février dans la revue Journal of Clinical Medicine. Elle a révélé que 47,3 % des adultes français seraient obèses ou en surpoids.
(…) Les plus âgés sont davantage en surpoids ou obèses que les plus jeunes : l’excès de poids touche 57,3 % des 65 ans et plus contre 23,2 % des 18-24 ans. Néanmoins, les tendances se révèlent plus inquiétantes, car c’est dans les tranches d’âge les plus jeunes que l’augmentation de prévalence de l’obésité au fil des ans est la plus forte. Depuis 1997, l’obésité chez les 18- 24 ans a été multipliée par plus de 4, et par près de 3 chez les 25-34 ans, quand l’augmentation chez les 55 ans et plus est faible depuis 2009.
« Force donc est de constater qu’au contraire des espérances tant des pouvoirs publics que des professionnels de santé, depuis la mise en œuvre du Programme national nutrition santé en 2001, l’obésité en France ne fait que s’accroître, année après année », soulignent Annick Fontbonne et David Nocca. »
Le surpoids et l’obésité concernent autant les hommes que les femmes, avec des différences mineures. Les hommes sont plus souvent en surpoids et les femmes sont plus souvent obèses lorsqu’elles sont en surpoids.
L’étude constate également que les tendances sont à la hausse depuis 1997 dans toutes les catégories professionnelles. »
Les causes de l’obésité et du surpoids avancées par l’OMS
Selon l’OMS, l’obésité et le surpoids sont principalement dus à un déséquilibre énergétique entre les calories consommées et dépensées. Ils font référence à la qualité énergétique des aliments, notamment ceux qui sont riches en lipides, mais aussi à la sédentarité (évolution des formes de travail, des modes de transport et de l’urbanisation).
Les risques de santé liés au surpoids
Objectivement, on sait que l’on est en surpoids en calculant son IMC (voir le calculateur en ligne du site Améli pour une approximation-car le calculateur ne considère pas la différence entre les muscles, les os et la masse graisseuse). Une hausse de l’IMC est un facteur de risque majeur pour certaines maladies chroniques. Je cite :
« –maladies cardiovasculaires (principalement les cardiopathies et les accidents vasculaires cérébraux), qui étaient déjà la première cause de décès en 2012;
–diabète
–troubles musculosquelettiques, en particulier l’arthrose – une maladie dégénérative des articulations, très invalidante
–certains cancers (de l’endomètre, du sein, des ovaires, de la prostate, du foie, de la vésicule biliaire, du rein et du colon).
-risque de contracter des maladies non transmissibles augmente avec l’IMC. »
L’obésité touche également les enfants et constitue également un risque majeur pour leur santé : risque accru d’obésité, décès prématuré et d’incapacité à l’âge adulte. A leur âge, ils peuvent être confrontés à :
-des difficultés respiratoires
-un risque accru de fractures
-de l’hypertension artérielle,
-une apparition des premiers marqueurs de maladie cardiovasculaire
-une résistance à l’insuline
-des problèmes psychologiques.
Plus de renseignements sur le site de l’OMS https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/obesity-and-overweight
Quels sont les objectifs d’une prise en charge des troubles de surpoids ?
L’objectif de la prise en charge du surpoids ou de l’obésité est toujours d’améliorer la santé. Les objectifs de santé visent par exemple :
-la prévention et le contrôle du diabète de type 2,
-l’hypertension et l’amélioration de la pression artérielle
-la stéatose hépatique (maladie du foie gras non hépatique)
-l’amélioration des maladies cardiovasculaires
-l’amélioration des problèmes liés à l’apnée obstructive du sommeil
-la qualité de vie
Les solutions préconisées par l’OMS
Les solutions préconisées par l’OMS sont de plusieurs ordres :
- Les solutions individuelles
À un niveau individuel, si la cause est située dans les habitudes alimentaires et comportements, on peut de manière très logique :
-limiter l’apport énergétique (lipides totaux et sucres)
–améliorer son alimentation (fruits et légumes, légumineuses, céréales complètes, de noix, …)
–avoir une activité physique régulière.
Mais tout ça, vous le saviez déjà, non ? On le dit même à la télé, dans les pubs, etc. Et pourquoi cela ne marche pas alors ? Je vous ai déjà dit qu’il y avait un élément manquant important. Mais continuons…
2. La responsabilité sociétale
Pour compléter cette approche, l’OMS signale toutefois qu’au niveau de la société, il serait bon que « l’individu soit aidé à appliquer les recommandations énoncées ci-dessus, par la mise en œuvre durable de politiques reposant sur des bases factuelles à l’échelle des populations qui rendent les choix de l’activité physique régulière et de meilleures habitudes alimentaires disponibles, financièrement avantageux et facilement accessibles pour tout un chacun, y compris les plus pauvres. »
Ils évoquent également la responsabilité de l’industrie agro-alimentaire pour la promotion des régimes alimentaires sains.
Nous savons que tout cela commence à être mis en place. Nous voyons les petites annotations sous les publicités (ah non ?), les indications sur les produits (toujours pas ?) et nous faisons des choix responsables (toujours pas) ?
Alors, si les pouvoirs publics font leur travail, peu ou prou, que manque-t-il ? Jusqu’où peut aller l’aide de l’Etat ou de la Société ? Que font ceux qui ne sont pas en surpoids, déjà, maintenant, dans les conditions actuelles ? Qu’ont-ils de plus ou de moins ? Et surtout, que font-ils de plus ou de moins ?
Les solutions apportées
L’article que je cite se focalise surtout sur l’obésité, cependant, il ne faut pas négliger le surpoids qui a lui aussi ses effets délétères, de manière plus discrète et insidieuse, lentement mais sûrement. Et on l’a vu, le surpoids touche environ près de la moitié de la population française.
Les approches habituelles pour traiter l’obésité sont :
-le comportement alimentaire,
-la sédentarité et l’activité physique,
-le sommeil,
Les difficultés psychologiques…
Selon ce même article, le problème est qu’elles sont « rarement suffisantes pour obtenir une perte de poids significative et la maintenir à long terme. »
L’approche médicamenteuse
Avant de vous expliquer l’importance et l’efficacité de l’approche des techniques HeartMath en cas de surpoids, il vous faut comprendre comment procèdent la plupart des médicaments « historiques » anti-obésité.
Ceux-ci ont une action sur des « neurotransmetteurs (comme la sérotonine) qui agissent sur la régulation de l’appétit et les circuits de la récompense, afin de réduire la faim, de promouvoir la sensation de satiété et de diminuer la sensation de récompense associée à l’alimentation. »
L’article de l’Inserm nous rappelle que beaucoup de médicaments ont dû être supprimés en raison de leurs effets secondaires et qu’il existe des médicaments de nouvelle génération.
Ces nouveaux médicaments agissent « sur le pancréas en favorisant la sécrétion d’insuline, ils agissent également sur les mécanismes de satiété dans le système nerveux central. »
Pour résumer, sans parler de l’approche chirurgicale (vous trouverez les détails sur le même site), les médicaments agissent sur les fonctions hormonales qui permettent la régulation du corps. C’est ce mécanisme qui produit les effets bénéfiques sur le poids et la santé.
C’est exactement ce que fait la cohérence cardiaque, mais en utilisant les capacités naturelles du corps et en responsabilisant l’individu qui apprend et pratique l’autorégulation ! Et il n’y a pas d’effets secondaires nocif, puisqu’il s’agit d’autorégulation. Et ces effets ont plus de chances d’être durables car ils sont pilotés par le sujet lui-même. Nous y reviendrons un peu plus loin.
La perte de poids significative et le long terme
Alors, si vous le voulez bien, revenons à nos questions du début de cet article.
Que pourrait-il manquer à notre approche de la santé du corps, de manière plus large que les troubles liés au surpoids ? Que pourrions-nous ajouter pour obtenir des résultats significatifs et durables ?
Personnellement, lorsque j’étais en surpoids, au début, je le savais ! Et puis, petit à petit, j’ai fini par m’habituer à l’inacceptable, invoquant toute sortes d’excuses (le manque de temps, le manque d’énergie, la grossesse, l’âge, etc.). Subrepticement, le cerveau s’approprie ce nouveau corps et cette nouvelle proprioception, d’autant plus que la prise de poids est souvent progressive. Jusqu’au jour où l’on ne se souvient plus du corps que l’on avait, avant…
On a changé de taille de pantalon depuis bien longtemps, parfois pas, parce que certains vêtements modernes sont si élastiques qu’ils s’adaptent longtemps, jusqu’à ce qu’ils craquent…
Les médecins et la prévention
« Pour votre âge, ça va encore »
Et même certains médecins, se basant sur les statistiques et leur expérience, peuvent vous rassurer en vous disant que « pour votre âge, ça va encore ».
Lorsque je me pesais chez ma gynécologue, un jour, je pesais 65 kilos, je me suis étonnée parce que bien sûr, j’évitais le pèse-personne à la maison, et elle m’a dit que ça allait encore. Pourtant, je ne mesure que 1 m 60 et pour moi, c’était déjà la limite supérieure de l’IMC. C’est vrai, ce n’était pas encore « la fin du monde », mes kilos s’étalaient assez régulièrement (c’est le pire pour ne pas s’en apercevoir) mais je commençais à mettre le pied dans le surpoids et tous ses inconvénients.
Surtout, à ce moment-là, j’avais également de l’hypertension et des troubles dépressifs qui n’étaient pas définis ainsi. Mais je manquais d’énergie, je me sentais littéralement lourde, à l’intérieur comme à l’extérieur, j’avais souvent besoin de pleurer et de dormir ; je survivais tant bien que mal dans ma vie de célibataire, divorcée, avec un enfant jeune et difficile à élever, sans famille pour m’aider, avec un travail prenant et pas tellement rémunérateur… Je faisais avec, je faisais souvent « comme si », et je me dirigeais tout droit vers le burn out que j’ai connu quelques années plus tard.
Cependant, personne ne me parlait de mon état mental ; il était surtout question de prendre des médicaments contre l’hypertension, pour protéger mes artères. Ce que je n’ai jamais fait.
Je savais qu’il fallait agir de manière plus holistique. Mais heureusement, j’ai fini par comprendre et trouver ce que je cherchais !
La suite au prochain rendez-vous
A ce stade, cet article est déjà très long. J’y ai abordé les faits chiffrés, les risques sanitaires dus au surpoids et à l’obésité, ainsi que les solutions proposées habituellement, qui malheureusement, ne permettent pas toujours des effets significatifs ni à long terme.
Alors, quel est l’élément manquant ?
Je vous invite à lire la deuxième partie de cet article où j’aborde mes solutions et mes 7 idées pour retrouver la ligne et surtout, la forme et la santé et ce, de manière durable !
Comme j’ai moi-même souffert de surpoids dont je n’avais pas compris l’importance, et que je retrouve mon équilibre sans effort et avec joie, je peux d’autant mieux vous en parler et vous accompagner. Cela vaut également pour les surpoids plus importants.
Vous pouvez d’ores et déjà me contacter si vous souhaitez profiter de votre premier rendez-vous offert d’un quart d’heure.
Je vous l’offre avec joie !
A bientôt,
Nadège COMPPER
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