Auteure : Nadège Compper, Coach de joie, auteure, conférencière et artiste.

350 000 000 de personnes atteintes de dépression dans le monde… Les seconds troubles les plus répandus après les maladies cardio-vasculaires… 1, 2 milliards de doses quotidiennes prescrites en France en 2013, et les chiffres ne font qu’augmenter… 9000 personnes se suicident chaque année en France, et c’est souvent lors d’un épisode de dépression, même pour les personnes sous antidépresseurs…

Perte d’énergie, baisse de l’humeur, désintérêt, perte d’appétit, repli sur soi, difficultés à affronter le quotidien et bien d’autres symptômes, … avec des répercussions sur la santé de façon globale.

Voici ce dont il est question dans ce reportage d’Arte, « Dépression, de nouveaux espoirs » (2017).

Comme le dit l’un des témoins du reportage, le fait de prendre des médicaments n’est pas vraiment d’une efficacité significative. On passe d’une dose à une autre, d’un médicament à un autre… et on s’enfonce dans cette spirale.

Dans ce reportage, en conclusion, ils nous parlent encore d’un nouveau médicament, en fait…

Mais n’y a-t-il pas une autre solution encore plus respectueuse de la nature humaine ?

N’y a-t-il pas un moyen de répondre à ce trouble en prenant en compte la réalité de notre nature, soit le fait que nous soyons une âme dans un corps ? Ou encore mieux, un corps dans une âme beaucoup plus vaste ? Et si la dépression n’était qu’un signe que l’âme n’était pas alignée sur sa vraie nature ?

Dans mon cas, c’est la piste que j’ai explorée, car j’ai toujours aimé chercher la cause de la cause de la cause, lorsque je travaillais en orthophonie. Je pense que la dépression est plutôt une « maladie » spirituelle. Ou un symptôme d’un déséquilibre spirituel, de quelque chose qu’on peut régler, équilibrer, pas guérir au sens médical.

La maladie est une amie qui nous envoie des signaux, à nous de l’écouter !

Heureusement, la dépression ne m’a jamais enlevé mes capacités de réflexion. Certaines personnes se méfient de leur mental, mais c’est mon mental qui m’a aidée, en m’envoyant des signaux. J’ai donc utilisé mes capacités d’autocritique élevées pour me remettre en question. Comme je l’ai déjà expliqué, le coup de pouce est venu de mon état de santé qui commençait à se dégrader. En effet, une exposition durable au stress baisse considérablement nos défenses immunitaires et finalement, certaines parties du corps nous envoient des signes d’alerte.

Moi, j’ai eu plusieurs signaux, dont le plus inquiétant concernait mon utérus, mais je vous raconterai cette histoire en détail une autre fois. J’ai commencé à raconter mon histoire dans cet article :  » Assumez l’entière responsabilité de votre vie ».

Je vous reporte à mon article « Les effets du stress sur la santé« . Mes connaissances en sophrologie et en relaxation, ainsi qu’en art-thérapie, en gestion mentale (une technique d’apprentissage qui utilise les mêmes moyens que la pleine conscience), ainsi que la kinésiologie, m’ont également beaucoup aidée à prendre de la hauteur et ne pas sombrer complètement dans les idées sombres.

« La maladie lui a déjà presque tout pris » (voir le reportage).

Qu’entendez-vous dans cette phrase ? Selon mon expérience des Principes du Succès, lorsque je les ai entendus, j’ai tout de suite fait la relation avec le premier principe du succès. Avec ce principe, j’ai enfin compris pourquoi je n’arrivais jamais à me désenliser des idées morbides qui revenaient régulièrement : j’étais encore trop attachée à mon statut de victime. Je rejetais encore trop la faute à ceci et à cela, au passé, à certaines personnes, à moi-même, comme ici dans cette phrase, à la maladie qui devient une véritable entité.

Or, comme le montre le reportage, nous avons déjà une responsabilité ne serait-ce que dans le choix de notre alimentation.

Photo de Andre Furtado sur Pexels.com

En prenant ses responsabilités, on peut commencer par changer son régime alimentaire. Dans mon cours « Je choisis la joie, j’optimise ma vie », accessible aux adhérents de mon Club La Joie du Succès, je parle bien sûr de tous ces aspects, et il y en a beaucoup.

Pour vivre la joie, nous devons agir sur le corps, mais aussi l’esprit et l’âme, sinon le résultat ne sera jamais complet. Et arrêter de parler de maladie, mais plutôt considérer ce problème comme un état d’âme. Et comme pour tout état d’âme, on peut changer plusieurs choses pour aller mieux. On l’a vu dans le reportage que les moyens comme la pleine conscience répondaient mieux aux besoins des dépressifs, et c’est sans doute parce qu’ils parlent à l’âme. Après, ce que je pense n’engage que moi.

Ma définition de la dépression, et j’assume…, c’est tout simplement d’être coupé en grande partie de la Source d’énergie qui existe dans l’Univers. Fort heureusement, on ne peut jamais en être complètement coupé. Mais les mauvaises habitudes mentales, alimentaires et physiques nous coupent de cette source, comme une mauvaise circulation de l’énergie. Pour y remédier, on travaille donc énormément sur l’estime de soi, mais aussi sur l’amour autour de soi et l’Amour avec un grand A (qui n’est pas l’amour d’une relation amoureuse).

Lorsque l’on se reconnecte à cette joie qui nous est naturelle, en nous dépouillant petit à petit, la tristesse peut disparaître elle aussi, peu à peu, car nous trouvons enfin notre vraie place, notre vrai Moi. C’est comme un ciel nuageux qui fait petit à petit apparaître le soleil.

Une thérapie sans thérapeute

Je suis art-thérapeute, sophro-relaxologue, coach certifiée pour enseigner les Principes du Succès. Et j’ai connu ces sentiments de dépression jusqu’au burn out. Je suis donc bien placée pour en parler, et vous proposer une thérapie sans thérapeute !

Je vous propose même encore plus : un Club pour entretenir la joie et le succès !

Je vous invite donc à lire les détails de ce que je vous propose dans Le Club La Joie du Succès.

Je l’ai fixé à un prix très abordable afin de pouvoir vous donner les meilleurs outils que j’ai moi-même utilisés, sans médicaments et sans même de produits phytothérapeutiques. Vous y avez accès pendant un an, avec toutefois un accès illimité au groupe, afin je puisse vous suivre et vous encourager tout au long de ce processus de guérison spirituelle. Car je crois profondément, et la science l’a montré, que notre corps a tout ce qu’il lui faut pour se réparer, si on lui en laisse le temps ! C’est notre nature !

Notre cerveau peut retrouver son plein fonctionnement et nous pouvons de nouveau ressentir la joie

Je vous donne déjà une première astuce : même au plus profond de ma détresse, j’ai commencé par choisir la joie et, de goutte en goutte, la joie qui était déjà là a fini par se développer en moi et à me remplir. J’ai appris à dialoguer avec elle et à en faire une amie. Et si parfois, je peux encore perdre le chemin, comme lorsque je suis fatiguée, je reconnais cet état et je sais très facilement retrouver ma voie car je connais les ficelles de mon fonctionnement physique, mental et spirituel. J’enseigne cet outil puissant dès les premières vidéos de mon cours « Je choisis la joie, j’optimise ma vie ».

Je vous retrouve au Club ?

Merci de votre visite. Pensez à récupérer votre cadeau en vous inscrivant à la newsletter ! En attendant notre prochain rendez-vous, je vous dis à très bientôt, en vous souhaitant beaucoup de joie et de succès.

Nadège

Auteure : Nadège Compper, coach de joie, auteure, conférencière et artiste.

Comment allez-vous ? Bien, je l’espère. Sinon, je suis là pour vous aider à retrouver le chemin de la joie ou à la maintenir en vous, avec la force du Club La Joie du Succès.

Etre optimiste, c’est dépassé. Soyons des réalistes joyeux !

Depuis cette période de confinement et la peur qui a été largement véhiculée, il est clair que beaucoup de personnes sont submergées par la dépression, l’anxiété et bien d’autres conséquences financières et sociales. Et nous avons parfois le mauvais réflexe d’avoir encore plus peur et de nous protéger des autres et de tout. De plus, on nous le conseille vivement. Certains choisissent le geste irrémédiable pour s’en sortir.

J’ai eu la chance d’avoir été épargnée, car j’avais du travail et la joie nous donne des défenses immunitaires en béton ; et ce temps supplémentaire que la vie m’a offert, je l’ai utilisé pour faire de la musique, créer des chansons, me recentrer, redéfinir mes priorités, etc. ; et j’ai reçu de magnifiques cadeaux de la vie dont nous aurons sans doute l’occasion de reparler.

C’est l’un des nombreux pouvoirs de la joie ! C’est une science exacte !

En effet, si l’on en croit les connaissances en physique quantique, tous ces scientifiques qui nous ont démontré que notre monde est fait d’énergie et répond à l’énergie, en tout temps, nous devons pouvoir riposter par l’énergie que nous choisissons et déployons dans le monde. C’est nous qui façonnons notre monde au lieu de le subir. En fait, la joie pourrait même nous protéger de tout ce dont nous pourrions avoir peur.

Et si vous choisissiez la joie ?

J’ai moi-même connu de longues périodes de tristesse et de dépression, jusqu’au burn out, avec l’impression de ne pas être faite pour ce monde, et bien sûr, une très forte envie d’en finir pour aller vers des cieux plus paisibles … Je vous l’ai un peu raconté dans l’article « Assumez l’entière responsabilité de votre vie ».

Mais j’ai fini par comprendre pourquoi j’étais ici et j’ai relevé mes manches, je me suis donné le droit d’être, et surtout la responsabilité de créer mon propre monde, ici-bas.

J’ai choisi la joie.

Récemment, j’ai décidé de créer le Club La Joie du Succès car j’ai remarqué que certaines personnes voulaient m’approcher pour ce que je dégageais, conséquence du gros travail que j’ai fait sur moi. Malheureusement, avec le travail et mes activités créatives, je n’ai pas toujours beaucoup de temps à  consacrer à tous mes amis ni à toutes les personnes qui veulent me rencontrer.

Donc, je me suis dit : « Et si je faisais d’une pierre deux coups ? Si je créais ce Club ? Je pourrais alors partager ce que j’aime profondément, ce que les gens veulent savoir sur mes secrets, tout en aidant plus de personnes d’un coup. On pourra se rencontrer ensemble autour de mon sujet préféré, la joie, et son pendant, le succès, à travers toutes sortes d’activités qui encourageront notre joie. » 

Photo de Marcin Dampc sur Pexels.com

Cool, n’est-ce pas ?

Chacun définira le succès comme il lui conviendra. Pour moi, il s’agit d’être heureuse, en bonne santé, de me sentir bien avec mon entourage et mon environnement, d’avoir tout ce dont j’ai besoin et de faire ce que j’aime. Nous en parlerons dans le cours en ligne qui est fourni avec le Club, « Je choisis la joie, j’optimise ma vie », mais aussi lors des webinaires (une fois par mois) et lors des rencontres en présentiel à venir pour ceux qui pourront y participer.

Il est plus que temps que nous soyons de plus en plus nombreux à comprendre comment fonctionne le monde et à agir de manière à ce qu’émerge le meilleur de nous-mêmes.

Alors, pour vous aider à choisir ce chemin de la joie, après la promotion de lancement de 30% qui a expiré, je vous propose cette promotion de 20% jusqu’à la fin de ce mois de Juillet. Utilisez le code indiqué ci-dessous.

Avec tous les bonus (dont les vidéos sur La joie de voir et une année de bonne humeur avec moi !), vous en aurez largement pour votre argent, De plus, je vous offre une garantie de 30 jours, au cas où vous auriez envie de nous quitter (découvrez ici tout ce que vous perdriez dans ce cas)…

Je vous laisse découvrir tous les détails de cette offre ICI, et espère vous revoir très bientôt avec nous sur ce chemin de la joie, l’énergie la plus haute avec l’amour, selon le Dr Hawkins (Pouvoir contre force) et bien d’autres. C’est pour cela que j’ai choisi la joie, car comme le dit Deepak Chopra, on devrait choisir le meilleur dès le départ. Cela fait partie des nombreuses ressources que je vous communique également dans le cadre du Club La Joie du Succès.

Je vous quitte mais j’espère vous retrouver très bientôt. Le prochain webinaire est prévu ce mercredi ! Vous y serez ?

Merci et à très bientôt,

Nadège Compper

Vous connaissez l’expression « être aveugle » ? Eh bien, je peux vous dire qu’il ne s’agit pas que d’une simple expression et que c’est quelque chose de terrible. Comment je le sais ?

J’avais environ 20 ans, j’étais étudiante.  J’étais anorexique-boulimique mais je ne le savais pas. Depuis mon adolescence, j’étais obsédée par mon poids, j’étais envahie par les jugements que j’avais reçus et que je me faisais tout le temps, j’étais envahie par la culpabilité, la peur, les angoisses, j’étais psychorigide, extrêmement sévère avec moi-même et forcément avec les autres… Je n’étais pas grosse parce que je faisais aussi 7 heures de sport par semaine. J’étais étudiante et j’en profitais, entre la gymnastique et la danse. J’étais mince mais à quel prix ! Toujours cette obsession de la forme et de la minceur. Pourtant, je ne me voyais jamais mince, alors que certaines personnes me faisaient des compliments. Je ne les comprenais pas, pas plus que je ne les croyais.

Alors, sans entrer dans les détails, pour compenser les paquets de biscuits que je mangeais d’une traite, j’aimais par exemple les biscuits à l’amande, hyper sucrés qui existent toujours d’ailleurs, eh bien, je prenais des tisanes laxatives. Je ne me faisais pas vomir, mais je prenais des tisanes laxatives. Normalement, on ne devait en prendre qu’un sachet de temps en temps, mais moi, c’était tous les jours. Sauf ce jour-là. Ce jour-là, j’ai décidé je ne sais pourquoi que je devais en prendre non pas un, ni deux, mais trois… C’est ce qui se passe quand on est obsédée ou psychiquement malade, on ne sait pas s’arrêter par inconscience. Je suppose que c’est un peu comme les drogués.

La réaction a été très rapide. J’ai eu des crampes d’estomac, parce que mon estomac n’était pas tellement plein de toute façon. Puis j’ai ressenti des étourdissements, des sueurs froides… Et puis, je suis tombée dans les pommes. Quand j’ai réussi à ouvrir les yeux, au bout d’un certain temps, j’ai été complètement affolée : je ne voyais plus rien et pourtant j’avais bien les yeux ouverts !

J’avais les yeux ouverts et je ne voyais que du noir !

J’étais donc aveugle ! C’était affreux. C’était comme si j’avais eu un court-circuit visuel. Non seulement j’étais affolée, mais en plus, j’étais très mal et très fatiguée, donc j’ai fini par fermer les yeux et je me suis rendormie… Au moins, en fermant les yeux, c’était normal de ne plus rien voir.

Alors, vous comprenez, lorsque je me suis réveillée et que j’ai vu que je voyais de nouveau, j’ai pris la décision de ne plus jamais refaire ça, et de prendre soin de moi. J’ai eu plein d’autres maladies et j’ai fait plein de bêtises, mais c’est à cause ou grâce à cet épisode que j’ai pris l’habitude de me remettre en question grâce à mes problèmes physiques entre autres, et c’est pourquoi j’ai réussi à guérir de mes maux du dos, de toutes sortes de problèmes de santé, dont ma paralysie faciale de l’an dernier, avec des moyens naturels et en changeant mes habitudes et mes modes de pensée. Je ne suis pas parfaite, mais je sais que le corps, lui, est capable de s’auto-guérir si on lui en donne les moyens, si on respecte sa nature.

C’est pour cela qu’au moment où j’ai commencé à être presbyte, à 42 ans, je me suis intéressée à l’éducation visuelle et que je sais qu’on peut soigner sa vue naturellement, sans lunettes ni intervention. A 53 ans, ça commençait tout de même à décliner et puis j’ai souffert d’une paralysie faciale qui a aggravé mes troubles visuels et j’ai dû porter mes premières lunettes quelques mois plus tard, avec une correction de 3, puis 2 dioptries (voir les détails dans la vidéo). Mais pour moi, c’était une solution temporaire, vu tout ce que je savais avec la méthode Bates. Je n’ai même pas choisi des super lunettes qui m’allaient super bien.

Mais avec le travail sur écran et mes activités sur le web, ça n’allait pas en s’arrangeant. Finalement, j’ai trouvé d’autres réponses à mes questionnements et je suis encore en train d’y travailler pour que ce soit parfait, mais j’ai des résultats très agréables : en deux jours intenses, j’ai progressé de deux lignes sur l’échelle de Snellen ! Mes résultats rapides m’ont remplie de joie et m’ont redonné goût à la vue, et aujourd’hui, je veux les partager avec vous.

Si vous êtes encore là à m’écouter, c’est que vous aussi, vous avez envie de prendre soin de votre vue et que vous comprenez que c’est extrêmement précieux pour la qualité de votre vie entière.

Maintenant, pendant les … prochaines minutes, je vais développer 5 bonnes raisons pour prendre soin de sa vue naturellement, sans lunettes ni intervention. Ce ne sont pas les seules mais celles que j’ai choisi de développer aujourd’hui.

La première raison est que pour la plupart d’entre nous, nous sommes nés avec des yeux qui voient et que c’est un sens très important, avec le sens de l’audition.

La deuxième raison est que jusqu’à nouvel ordre, personne n’a encore fait mieux.

La troisième bonne raison, c’est que si l’on poursuit comme on a commencé, selon les chiffres, on court tous plus ou moins vers la cécité ou la cataracte et ce, de plus en plus tôt.

La quatrième bonne raison est que ces problèmes de vue, notamment la presbytie, ont un rapport étroit avec la maladie d’Alzheimer

Et pour finir, la cinquième bonne raison et non la moindre, est que la liberté de nos yeux est en lien avec notre liberté et notre rapport à la vie en général !

Alors maintenant, je vais entrer un peu plus dans les détails.

  1. Nous sommes nés avec des yeux qui voient.

La première raison est que pour la plupart d’entre nous, nous sommes nés avec des yeux qui voient et que c’est un sens très important, avec le sens de l’audition. J’en ai parlé dans mon livre « L’éveil intellectuel des enfants« . C’est l’un des sens qui nous permettent de voir et d’appréhender le monde dans lequel nous vivons. Et moins on voit bien, moins on voit les détails ou la globalité, selon nos troubles, plus il nous manque certains éléments pour vivre notre vie confortablement. Cela augmente notre stress et crée un cercle vicieux, sans qu’on s’en rende vraiment compte, parce qu’autour de nous, la publicité et les médecins nous disent que c’est normal et qu’il n’y a rien d’autre à faire.

Ayant perdu la vue deux fois une fois soudainement (voir la vidéo) et la deuxième fois, progressivement, je me suis rendu compte à quel point c’était précieux à tous points de vue… Je commençais à être moins attentive, plus distraite, à perdre la mémoire et cela me rappelait les premiers signes de la maladie d’Alzheimer, une autre maladie qui nous pend au nez !

2. La deuxième raison est que jusqu’à nouvel ordre, personne n’a encore fait mieux.

On aura beau dire, les lunettes et la chirurgie, ça ne soigne pas !

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« Je ne suis pas une statistique mais une personne bien distincte »

Lorsque j’ai parlé à l’ophtalmologiste et à l’opticien qui m’a fait un bilan, (et je le remercie car j’ai mieux compris que j’étais sur la pente glissante !), ils m’ont bien fait comprendre que selon eux, ça n’allait pas s’arranger, bien au contraire. L’opticien, quant à lui, m’a fait comprendre que ma correction était même trop basse pour mon âge, selon les statistiques ! Moi, je lui ai bien fait comprendre que je n’étais pas une statistique mais une personne distincte…

J’ai tout de suite fait le parallèle avec ce que j’ai vu en orthophonie : ces gens que j’ai connus encore valides et qui peu à peu, se déplaçaient d’abord avec des béquilles puis en fauteuil roulant.

C’est vrai que si on ne s’occupe pas de se soigner profondément mais que l’on ne fait que mettre des pansements, prendre des médicaments, sans chercher la cause première, si on ne fait que de la chirurgie, enlever un ou deux morceaux, prendre des médicaments, on ne peut pas s’attendre à aller mieux ! En toute logique, ce ne peut qu’être de pire en pire si on accepte cette idée comme normale !

Non, même les médecins les mieux intentionnés ne sont pas des dieux, la preuve, eux aussi tombent malades et vieillissent !

3. La troisième bonne raison, c’est que si l’on poursuit comme on a commencé, selon les chiffres, on court tous plus ou moins vers la cécité ou la cataracte et ce, de plus en plus tôt. Et à ce moment-là, on n’aura des yeux que pour pleurer !

D’abord, on dépiste les enfants de plus en plus tôt et comme leur vue n’est pas fixée, on a encore plus de chance de leur trouver un trouble visuel. On voit de plus en plus de bébés qui portent des lunettes et ce de plus en plus tôt. Le Dr Bates se retournerait dans sa tombe, lui qui était déjà effaré qu’il y ait 6% d’écoliers qui portaient des lunettes en 1920 ! Aujourd’hui, ce pourcentage a grimpé de façon ahurissante !

Ensuite, comme les lunettes fixent la vue, l’œil ne peut pas s’adapter à la distance ni à la luminosité comme il se doit, et donc, il perd sa faculté d’adaptation avec la correction qu’on lui a donnée. Et rebelote, on change de lunettes, etc.

Enfin, comme les yeux sont de moins en moins mobiles, le cristallin se fige et ça crée des cataractes. Bien sûr, vous pouvez me répondre qu’on peut se faire opérer, mais il y a des risques et des symptômes indésirables comme la photosensibilité.

Les chiffres sont parlants[1] :

Selon un article du Ministère des Solidarités et de la santé de 2014, Sept personnes sur dix de 20 ans ou plus portent des lunettes ou des lentilles de contact. Cela fait 70 % et on trouve cela normal ! En Chine, ces chiffres sont encore plus importants et se portent à plus de 80 % !

Depuis ma vidéo sur les exercices visuels, j’ai reçu des appels au secours de personnes qui n’avaient plus que 2 ou 3 dixièmes, parfois avec un seul œil valide, qui portaient des lunettes de plus en plus lourdes et qui n’en pouvaient plus, désespérés et avec la peur de devenir complètement aveugles. Moi, avant d’entrer dans ce monde et de me faire faire des lunettes, je croyais que les gens supportaient leurs lunettes et leurs lentilles et depuis que j’en ai eu, j’ai compris toute la souffrance qui était derrière ce problème, même si je suppose qu’il y a certaines exceptions, car il y a des gens qui ont l’air de bien vivre avec ça.

Les ophtalmologistes, les opticiens et les chirurgiens se frottent les mains (on ne va pas demander à un boulanger de ne pas vendre son pain) mais bon, on n’est pas là pour leur faire plaisir mais pour vivre notre vie au mieux ! Il faut tenir compte des cas particuliers, mais on devrait tous se tenir la main pour soigner et guérir les troubles visuels, chercher les meilleures solutions et pas les entretenir ni les aggraver.

4. La quatrième bonne raison est que ces problèmes de vue, notamment la presbytie, ont un rapport étroit avec la maladie d’Alzheimer

Et oui, il y a encore pire. Lorsque l’on voit moins bien, on fait moins attention, on regarde moins, on s’habitue à ne pas voir certaines choses et on « passe ». On devient petit à petit plus distrait, moins concentré sur les détails, l’instant présent, on finit par oublier une ou deux choses et ça finit par être les premiers signes de la maladie d’Alzheimer. En effet, les troubles visuels sont associés au stress, à la déprime voire à la dépression, à un certain découragement et à d’autres troubles directement liés à la perte de vision et toutes ses composantes.

Je dois dire que je l’ai moi-même ressenti : je ne faisais plus attention aux détails et j’ai fait quelques bêtises liées à ma distraction. J’ai fait peur  mon fils et à moi-même ! Et c’est grâce à cette prise de conscience que je me suis dit « oulala, ma fille, il va falloir que tu t’occupes de ça sinon, tu es encore sur la pente glissante ! ».

5. Et pour finir, la cinquième bonne raison et non la moindre, est que la liberté de nos yeux est en lien avec notre liberté et notre rapport à la vie en général !

Au-delà de la liberté de se mouvoir dans la vie sans accessoire obligatoire, regarder la vie en détails ou voir de loin correspondent à des capacités intellectuelles mais aussi à un certain rapport avec la vie, à l’attention que l’on porte à sa qualité de vie. La vue naturelle nous demande de développer un certain art de vivre. Mieux voir, et goûter aux cinq sens, prendre soin de sa santé à un niveau global, c’est non seulement jouir de la vue, mais jouir de la vie !

Et maintenant, qu’est-ce qu’on peut faire ?

Maintenant, bien sûr, il y a plein d’autres bonnes raisons de prendre soin de sa vue sans lunettes ni intervention, comme des raisons esthétiques, malgré tout le soin que mettent les opticiens dans le design et leurs arguments publicitaires. Vous connaissez sans doute tous comme moi, des personnes qui préfèrent se prendre en photo sans lunettes parce qu’elles savent qu’elles sont mieux sans. Parfois, on ne les reconnaît même pas tellement ça les change ! Je pense, par exemple, aux émissions de relooking.

Sans parler d’argent, avec ce que coûtent les consultations, les lunettes, les lentilles, les accessoires, les accidents,  … quand on peut se le payer.

Alors, je crois que ça suffit comme arguments. Ceux qui ne sont pas convaincus garderont leurs lunettes et les changeront régulièrement, et voilà.

Maintenant que nous avons compris pourquoi, j’en entends certains : « Mais Nadège, ok, tu m’as convaincue, comment je peux mettre tout cela en pratique ? »

Ce que je vous propose, c’est de rejoindre mon groupe « La joie de voir« . je vous montrerai tous les exercices de base qui m’ont aidée et qui m’aident encore, mais aussi ceux qui conviennent aux autres troubles que la presbytie, et bien plus, en vidéo, avec des audios et des séances de relaxation et des pdfs créés spécialement pour vous, car j’ai ajouté des éléments de coaching sur la confiance en soi, l’amour, la joie, etc..

Mais vous pourriez à la limite trouver tout cela dans les livres, surtout celui de Meir Schneider. C’est vraiment celui que je préfère et j’en ai lus beaucoup.

Les avantages d’un groupe de soutien

Ce que je peux vous apporter de plus, en plus des vidéos etc., c’est le groupe de soutien que j’ai créé sur Facebook. Ce sera une grande communauté où nous pourrons tous partager nos progrès, demander de l’aide et du soutien, car parfois, lorsqu’on est seul, et qu’on a une montagne à gravir, le chemin peut sembler long et décourageant. Mais ici, vous n’aurez pas ce problème et vous pourrez toujours venir vous poser.

Cependant, si dans cette série de vidéos je vous montre des exercices, il ne s’agit pas que d’exercices. Les yeux, rappelons-le, sont les miroirs de l’âme et  comme je suis aussi coach de joie, je ne m’arrêterai pas là.

Vous pourrez vous contenter des exercices et faire des progrès visuels, mais vous pourrez aussi approfondir l’approche mentale, psychologique et spirituelle. Ensemble, nous allons par exemple travailler à débloquer les émotions et les pensées limitantes qui sont derrière les troubles visuels.

Ce ne sera pas obligatoire mais je l’ai conçu pour élargir la vision, et travailler sur le sens de la vie et les sens subtils associés aux sens physiques, comme la clairvoyance.

Nous aurons aussi des live sur Facebook ou sur YouTube pour que ce groupe reste toujours dynamique.

Le groupe servira à nous aider à grandir ensemble et à jouir ensemble d’une vie meilleure.

Quelle importance donnez-vous à votre vue ?

Lorsque j’étais enfant, je voyais très bien. J’en profitais pour dessiner, peindre, écrire des histoires, de la musique et admirer la nature. Les couleurs, les formes, la lumière, c’était magnifique ! J’aimais voir malgré le fait que certaines choses de la vie n’étaient pas belles à voir. J’avoue qu’avec le temps, les blessures, les désillusions, les déceptions, les horreurs du monde, très tôt, j’ai dû souhaiter plus d’une fois que ça s’arrête. J’ai même voulu mourir.

Selon moi, c’est plus ça qui nous fait perdre la vue, pas l’âge en lui-même mais les blessures accumulées et non guéries.

Mais ça, c’était avant; 😉 …avant que je choisisse la joie. Maintenant, je tiens à la vue et à la vie comme à la prunelle de mes yeux. Je veux insuffler la joie dans chaque chose que je fais, dis, et vois. Alors, mes derniers mots seront :

 « Réveillez-vous, ouvrez les yeux, voyez et regardez  comme la vie est merveilleuse ! Décidez de vivre « La joie de voir «, de jouir de votre vie, de tous vos sens, et partagez cette vision autour de vous !

J’espère que cette vidéo et cet article vous ont apporté de la valeur. En tous temps, prenez soin de vous.

Merci et à très bientôt, je l’espère, dans le groupe « La joie de voir ». ou encore mieux, La Joie du Succès. Vous trouverez tous les renseignements complémentaires en suivant les liens ou dans la Boutique.

Joie et succès,

Nadège Compper

Merci aux auteurs de Pixabay et Fotolia pour leurs belles images.

[1] Référence : Lucie Calvet, avec la collaboration de Pauline Delance, Clément Dufaure, Victor Laliman, Benjamin Quevat, 2014, « Troubles de la vision : sept adultes sur dix portent des lunettes », Études et Résultats, n°881, Drees, juin. https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/