Aujourd’hui est un jour spécial pour moi… « Freedom Cycle ». quelle longue histoire…
J’ai reçu cette chanson il y a déjà 7 ans, un beau matin, et j’ai connu ensuite pas mal de tribulations, surtout intérieures mais aussi extérieures, car j’ai tout de suite compris que je devais tout faire pour vibrer l’énergie des paroles qui m’avaient été données. Mais j’en étais très loin !
Depuis, cette chanson n’a pas cessé de m’accompagner et de me guider. Ses paroles simples mais percutantes (pour moi, en tous cas) ont été mon coach personnel ! J’ai fait X versions avec mes propres moyens, et celle-ci est encore une ébauche (j’attends des musiciens qui comprennent le projet « Freedom Cycle » et y adhèrent).
Après ma participation au concours de chant La Voix de l’Ange de l’an dernier, et la reconnaissance des professionnels et du public, j’ai compris que mes compositions avaient un intérêt pour les autres, même si je ne me sentais pas encore prête. Et peu à peu, les contraintes de ma vie m’ont encore emportée loin de ces préoccupations artistiques.
C’était sans compter sur le confinement
Le confinement et toutes ses conséquences ont provoqué un autre déclic en moi. J’ai donc décidé de partager cette chanson et son message avec vous dès maintenant, faisant fi de mes réserves, pour que vous puissiez me soutenir et éventuellement l’acheter telle quelle, afin que je puisse la finaliser avec des musiciens, puis en studio. On peut aller beaucoup plus loin. Ici, c’est juste une ébauche dans le champ de tous les possibles.
À travers cette chanson douce, je vous demande de me rejoindre dans le cycle de la liberté. Vous pouvez m’aider et le faire de plusieurs manières :
–Acheter cette chanson sur n’importe quelle plateforme (Itunes, Deezer, Spotify, etc.) afin je puisse finaliser mes chansons avec d’autres musiciens et diffuser mon message d’amour, de bonheur, de beauté et de succès. Pour bien faire de la musique, s’entraîner au piano, au chant, faire des vidéos, etc., il faut énormément de temps et d’énergie, et j’ai besoin de soutien et de mécènes pour me dégager du temps et aller plus vite et mieux.
Je suis un petit colibri et je fais tout ce que je peux pour apporter ma pierre à l’édifice. J’aime diffuser la joie, l’amour et la liberté, autant que possible autour de moi, avec tous les moyens mis à ma disposition.
Il est temps de partager la chanson !
Vous pouvez d’ores et déjà utiliser cette chanson pour développer le Freedom Cycle, autrement dit, le cercle vertueux ou cycle de la liberté (traduction littérale). Merci d’avance pour vos partages, vos chants, vos belles vibrations et de choisir d’entrer dans le cercle vertueux avec moi. Vous allez voir, elle semble facile, mais lorsqu’on prononce les paroles, même en les susurrant, on ressent beaucoup de joie, les mots ont rapidement un effet subtil et profond en nous.
C’est un chant de guérison et de victoire
Pour l’instant, je ne l’ai pas fait, mais je prévois une version vidéo en karaoké pour vous faciliter la tâche. Patience…
–Suivez-moi sur la chaîne youtube Na’Sara Light et partagez cette chanson, chantez-la autant que vous le pouvez, répandez la lumière et l’amour autour de vous et dans l’espace…
-Si vous connaissez des musiciens qui ont envie de créer un groupe autour de la joie et de l’amour, parlez-leur de mon projet de groupe « Freedom Cycle » pour travailler seulement des compositions originales (influences classique, jazz, jazz brésilien, dance, house, world music, reggae, …).
-Rejoignez le Club La Joie du Succès pour pratiquer les outils du cycle de la liberté ou du cercle vertueux de la joie. J’y partage tous les merveilleux outils que j’ai appris et pratiqués depuis que j’ai reçu l’air et les paroles de cette chanson dont je ne comprenais même pas le nom en anglais.
Quant à moi, aujourd’hui, j’ai eu la joie de faire quelque chose qui me donne des maux de ventre, mais c’est pour la bonne cause. J’ai ressenti ce que j’ai déjà ressenti chaque fois que je montais sur scène. C’est bête d’avoir tant envie de faire quelque chose qui vous rende si patraque…
Aujourd’hui, j’ai mis 3 chansons en ligne. Encore une fois, j’ai osé m’affirmer à l’extérieur en tant qu’auteur-compositeur-interprète ! Je vous ai déjà raconté comment j’avais réussi à me guérir de ma paralysie faciale grâce à la chanson, car dans cette épreuve, je me suis raccrochée à ma joie profonde. Et mes efforts ont été récompensés puisque, même après seulement deux mois de reprise du piano, j’ai réussi à être deuxième après un pianiste professionnel pour les deux compositions travaillées pendant ma convalescence et reçu les encouragements spéciaux du Président du jury, David Dauge !
C’est quelque chose que mon esprit repoussait depuis ma jeunesse, à cause de gros blocages, que dis-je, d’énormes blocages (bien sûr, tu peux chanter mais tu ne peux pas être chanteuse.. De plus, je ne voulais pas chanter pour le plaisir mais être chanteuse… Ah la la !), et malgré les encouragements de mes professeurs et d’autres personnes, et surtout malgré le fait que j’ai ça en moi (c’est le plus important, finalement, pas besoin de l’approbation des autres pour être soi, même si on a besoin des autres pour vivre l’amitié et l’amour).
Si vous remarquez les photos ci-dessus, elles sont séparées de presque 20 ans… Dans celle de 2002, j’avais 35 ans, j’allais bientôt divorcer mais je ne le savais pas. Je me faisais appeler Kanelle et j’essayais encore de créer mes chansons, toujours avec ces fameux blocages et bien sûr, des échecs répétés. Et comme on l’apprend en coaching, plus je connaissais l’échec, (malgré de vrais réussites tout de même, mais j’arrivais toujours à me saboter d’une manière ou d’une autre), tout me confortait que je ne devais pas le faire, que j’étais nulle, etc.
Mais finalement, c’est en faisant des petits pas de bébé qu’on apprend à marcher. A 54 ans, j’en suis arrivée à accepter mon cheminement, le chemin un peu compliqué qui est ma vie.
Et voilà, dans quelques jours, je pourrai partager mes œuvres pour demander, en toute sécurité et légitimité, toute l’aide dont j’ai besoin pour continuer en faisant mieux techniquement parlant (j’ai enregistré toutes les voix avec mon Iphone, même le piano (et ça fait un style) !!! Et j’ai mixé le tout sur mon ordinateur avec mon logiciel de base et quelques samples achetés).
Pourtant, je ne m’y attendais pas. Récemment, dans le cadre du Club La Joie du Succès, je confiais juste que j’avais ces choses en moi, et je le leur ai dit dans une courte vidéo. Et le fait de m’exprimer a fait ressortir tout cela. Après quoi, je me suis sentie très fatiguée et j’ai dû aller me coucher. Au fond de moi, j’ai eu une intuition, ma chanson « Freedom Cycle » et son énième version se sont rappelées à moi, et j’ai décidé de réécouter la version enregistrée pendant le confinement, entre rumba et hip hop (en 7 ans, elle s’est déjà habillée en rock, en house, en bossa-nova, etc.), et cette fois-ci, elle m’a vraiment plu !
J’en ai même versé des larmes parce que je me souvenais de l’avoir délaissée parce que je me sentais extrêmement confuse. J’aurais voulu qu’elle soit pêchue et très rapide, parce qu’elle parle d’une fête et de joie, et elle était toute douce, chaloupée, calme et aimante comme une chanson d’amour… et j’en avais été très déçue…
Eh oui, l’énergie de la joie et de l’amour pour une chanson qui parle de liberté, waooh, je n’y aurais pas pensé mais c’est très juste !
Je me suis aussi rendu compte que j’avais été fatiguée parce que j’en avais tellement fait (plusieurs voix, plusieurs pistes, etc.).
Alors, j’ai écouté mon cœur, et j’ai fait de la musique tout l’après -midi qui a suivi, et j’ai ressenti tellement de joie, ça m’a même transformée physiquement (j’ai osé mettre du bleu, ma couleur préférée, sur mes lèvres !), que je ne peux plus résister, je capitule, quel que soit le résultat et toutes mes peurs que j’ai encore ressenties ce matin.
En créant le Club La joie du Succès, je ne m’attendais pas du tout à ce chamboulement, moi qui suis un peu trop souvent dans le mode mental. Mais tout bien réfléchi, le Club, en se basant sur la joie et les Principes du Succès, fait partie intégrante du projet « Freedom Cycle », dont j’ai eu l’idée il y a quelques années déjà, et Freedom Cycle est le titre d’une chanson qui m’a motivée et me motive encore depuis 7 ans, car pour comprendre les mots « freedom cycle » que j’avais reçus en intuition, je les ai cherchés sur internet et découverts sur un site de coaching anglophone…
En 2016, j’étais coach certifiée pour enseigner les Principes du Succès ! Quelle épopée ce fut pour moi, je vous l’assure… Les paroles de cette chanson m’ont donné un leitmotiv puissant, pour moi mais aussi pour les autres. Je vous ai raconté cette histoire un peu bizarre dans un article (ce blog date de 2012 et a juste changé de nom, après que mon site Réussir en Beauté ait connu un naufrage en Avril 2020, et que j’y revienne, bref !).
A l’époque, je n’étais absolument pas prête à la chanter avec la bonne intention !
Mais aujourd’hui, je sens que c’est bien, que je suis nettement mieux assortie aux paroles qui m’ont été inspirées ce matin-là, et que c’est le départ d’une nouvelle aventure pleine de joie !
Aussi, j’aimerais vous demander quelque chose. Pourriez-vous soutenir ma page d’artiste, ainsi nous resterons plus facilement en contact. Dès que je pourrai partager mes nouveautés avec vous, je le ferai ! Comme tous les artistes, j’ai besoin d’aide et de soutien et c’est à vous que je le demande. Merci d’avance, Na’Sara.
P.S. Vous pouvez aussi nous rejoindre au Club La joie du Succès, car ainsi, vous allez vous ouvrir au champ de tous les merveilleux possibles !
Joie et succès,
Na’Sara (ou Nadège Compper, tout cela me rend un peu schizophrène !)
P.S. Si vous connaissez des musiciens dans la région toulousaine, libres et engagés pour le meilleur, qui ont envie e chanter la joie, la liberté et l’amour, dans un esprit sain et optimiste, parlez-leur de Na’Sara.
Vous connaissez l’expression « être aveugle » ? Eh bien, je peux vous dire qu’il ne s’agit pas que d’une simple expression et que c’est quelque chose de terrible. Comment je le sais ?
J’avais environ 20 ans, j’étais étudiante. J’étais anorexique-boulimique mais je ne le savais pas. Depuis mon adolescence, j’étais obsédée par mon poids, j’étais envahie par les jugements que j’avais reçus et que je me faisais tout le temps, j’étais envahie par la culpabilité, la peur, les angoisses, j’étais psychorigide, extrêmement sévère avec moi-même et forcément avec les autres… Je n’étais pas grosse parce que je faisais aussi 7 heures de sport par semaine. J’étais étudiante et j’en profitais, entre la gymnastique et la danse. J’étais mince mais à quel prix ! Toujours cette obsession de la forme et de la minceur. Pourtant, je ne me voyais jamais mince, alors que certaines personnes me faisaient des compliments. Je ne les comprenais pas, pas plus que je ne les croyais.
Alors, sans entrer dans les détails, pour compenser les paquets de biscuits que je mangeais d’une traite, j’aimais par exemple les biscuits à l’amande, hyper sucrés qui existent toujours d’ailleurs, eh bien, je prenais des tisanes laxatives. Je ne me faisais pas vomir, mais je prenais des tisanes laxatives. Normalement, on ne devait en prendre qu’un sachet de temps en temps, mais moi, c’était tous les jours. Sauf ce jour-là. Ce jour-là, j’ai décidé je ne sais pourquoi que je devais en prendre non pas un, ni deux, mais trois… C’est ce qui se passe quand on est obsédée ou psychiquement malade, on ne sait pas s’arrêter par inconscience. Je suppose que c’est un peu comme les drogués.
La réaction a été très rapide. J’ai eu des crampes d’estomac, parce que mon estomac n’était pas tellement plein de toute façon. Puis j’ai ressenti des étourdissements, des sueurs froides… Et puis, je suis tombée dans les pommes. Quand j’ai réussi à ouvrir les yeux, au bout d’un certain temps, j’ai été complètement affolée : je ne voyais plus rien et pourtant j’avais bien les yeux ouverts !
J’avais les yeux ouverts et je ne voyais que du noir !
J’étais donc aveugle ! C’était affreux. C’était comme si j’avais eu un court-circuit visuel. Non seulement j’étais affolée, mais en plus, j’étais très mal et très fatiguée, donc j’ai fini par fermer les yeux et je me suis rendormie… Au moins, en fermant les yeux, c’était normal de ne plus rien voir.
Alors, vous comprenez, lorsque je me suis réveillée et que j’ai vu que je voyais de nouveau, j’ai pris la décision de ne plus jamais refaire ça, et de prendre soin de moi. J’ai eu plein d’autres maladies et j’ai fait plein de bêtises, mais c’est à cause ou grâce à cet épisode que j’ai pris l’habitude de me remettre en question grâce à mes problèmes physiques entre autres, et c’est pourquoi j’ai réussi à guérir de mes maux du dos, de toutes sortes de problèmes de santé, dont ma paralysie faciale de l’an dernier, avec des moyens naturels et en changeant mes habitudes et mes modes de pensée. Je ne suis pas parfaite, mais je sais que le corps, lui, est capable de s’auto-guérir si on lui en donne les moyens, si on respecte sa nature.
C’est pour cela qu’au moment où j’ai commencé à être presbyte, à 42 ans, je me suis intéressée à l’éducation visuelle et que je sais qu’on peut soigner sa vue naturellement, sans lunettes ni intervention. A 53 ans, ça commençait tout de même à décliner et puis j’ai souffert d’une paralysie faciale qui a aggravé mes troubles visuels et j’ai dû porter mes premières lunettes quelques mois plus tard, avec une correction de 3, puis 2 dioptries (voir les détails dans la vidéo). Mais pour moi, c’était une solution temporaire, vu tout ce que je savais avec la méthode Bates. Je n’ai même pas choisi des super lunettes qui m’allaient super bien.
Mais avec le travail sur écran et mes activités sur le web, ça n’allait pas en s’arrangeant. Finalement, j’ai trouvé d’autres réponses à mes questionnements et je suis encore en train d’y travailler pour que ce soit parfait, mais j’ai des résultats très agréables : en deux jours intenses, j’ai progressé de deux lignes sur l’échelle de Snellen ! Mes résultats rapides m’ont remplie de joie et m’ont redonné goût à la vue, et aujourd’hui, je veux les partager avec vous.
Si vous êtes encore là à m’écouter, c’est que vous aussi, vous avez envie de prendre soin de votre vue et que vous comprenez que c’est extrêmement précieux pour la qualité de votre vie entière.
Maintenant, pendant les … prochaines minutes, je vais développer 5 bonnes raisons pour prendre soin de sa vue naturellement, sans lunettes ni intervention. Ce ne sont pas les seules mais celles que j’ai choisi de développer aujourd’hui.
La première raison est que pour la plupart d’entre nous, nous sommes nés avec des yeux qui voient et que c’est un sens très important, avec le sens de l’audition.
La deuxième raison est que jusqu’à nouvel ordre, personne n’a encore fait mieux.
La troisième bonne raison, c’est que si l’on poursuit comme on a commencé, selon les chiffres, on court tous plus ou moins vers la cécité ou la cataracte et ce, de plus en plus tôt.
La quatrième bonne raison est que ces problèmes de vue, notamment la presbytie, ont un rapport étroit avec la maladie d’Alzheimer
Et pour finir, la cinquième bonne raison et non la moindre, est que la liberté de nos yeux est en lien avec notre liberté et notre rapport à la vie en général !
Alors maintenant, je vais entrer un peu plus dans les détails.
Nous sommes nés avec des yeux qui voient.
La première raison est que pour la plupart d’entre nous, nous sommes nés avec des yeux qui voient et que c’est un sens très important, avec le sens de l’audition. J’en ai parlé dans mon livre « L’éveil intellectuel des enfants« . C’est l’un des sens qui nous permettent de voir et d’appréhender le monde dans lequel nous vivons. Et moins on voit bien, moins on voit les détails ou la globalité, selon nos troubles, plus il nous manque certains éléments pour vivre notre vie confortablement. Cela augmente notre stress et crée un cercle vicieux, sans qu’on s’en rende vraiment compte, parce qu’autour de nous, la publicité et les médecins nous disent que c’est normal et qu’il n’y a rien d’autre à faire.
Ayant perdu la vue deux fois une fois soudainement (voir la vidéo) et la deuxième fois, progressivement, je me suis rendu compte à quel point c’était précieux à tous points de vue… Je commençais à être moins attentive, plus distraite, à perdre la mémoire et cela me rappelait les premiers signes de la maladie d’Alzheimer, une autre maladie qui nous pend au nez !
2. La deuxième raison est que jusqu’à nouvel ordre, personne n’a encore fait mieux.
On aura beau dire, les lunettes et la chirurgie, ça ne soigne pas !
« Je ne suis pas une statistique mais une personne bien distincte »
Lorsque j’ai parlé à l’ophtalmologiste et à l’opticien qui m’a fait un bilan, (et je le remercie car j’ai mieux compris que j’étais sur la pente glissante !), ils m’ont bien fait comprendre que selon eux, ça n’allait pas s’arranger, bien au contraire. L’opticien, quant à lui, m’a fait comprendre que ma correction était même trop basse pour mon âge, selon les statistiques ! Moi, je lui ai bien fait comprendre que je n’étais pas une statistique mais une personne distincte…
J’ai tout de suite fait le parallèle avec ce que j’ai vu en orthophonie : ces gens que j’ai connus encore valides et qui peu à peu, se déplaçaient d’abord avec des béquilles puis en fauteuil roulant.
C’est vrai que si on ne s’occupe pas de se soigner profondément mais que l’on ne fait que mettre des pansements, prendre des médicaments, sans chercher la cause première, si on ne fait que de la chirurgie, enlever un ou deux morceaux, prendre des médicaments, on ne peut pas s’attendre à aller mieux ! En toute logique, ce ne peut qu’être de pire en pire si on accepte cette idée comme normale !
Non, même les médecins les mieux intentionnés ne sont pas des dieux, la preuve, eux aussi tombent malades et vieillissent !
3. La troisième bonne raison, c’est que si l’on poursuit comme on a commencé, selon les chiffres, on court tous plus ou moins vers la cécité ou la cataracte et ce, de plus en plus tôt. Et à ce moment-là, on n’aura des yeux que pour pleurer !
D’abord, on dépiste les enfants de plus en plus tôt et comme leur vue n’est pas fixée, on a encore plus de chance de leur trouver un trouble visuel. On voit de plus en plus de bébés qui portent des lunettes et ce de plus en plus tôt. Le Dr Bates se retournerait dans sa tombe, lui qui était déjà effaré qu’il y ait 6% d’écoliers qui portaient des lunettes en 1920 ! Aujourd’hui, ce pourcentage a grimpé de façon ahurissante !
Ensuite, comme les lunettes fixent la vue, l’œil ne peut pas s’adapter à la distance ni à la luminosité comme il se doit, et donc, il perd sa faculté d’adaptation avec la correction qu’on lui a donnée. Et rebelote, on change de lunettes, etc.
Enfin, comme les yeux sont de moins en moins mobiles, le cristallin se fige et ça crée des cataractes. Bien sûr, vous pouvez me répondre qu’on peut se faire opérer, mais il y a des risques et des symptômes indésirables comme la photosensibilité.
Selon un article du Ministère des Solidarités et de la santé de 2014, Sept personnes sur dix de 20 ans ou plus portent des lunettes ou des lentilles de contact. Cela fait 70 % et on trouve cela normal ! En Chine, ces chiffres sont encore plus importants et se portent à plus de 80 % !
Depuis ma vidéo sur les exercices visuels, j’ai reçu des appels au secours de personnes qui n’avaient plus que 2 ou 3 dixièmes, parfois avec un seul œil valide, qui portaient des lunettes de plus en plus lourdes et qui n’en pouvaient plus, désespérés et avec la peur de devenir complètement aveugles. Moi, avant d’entrer dans ce monde et de me faire faire des lunettes, je croyais que les gens supportaient leurs lunettes et leurs lentilles et depuis que j’en ai eu, j’ai compris toute la souffrance qui était derrière ce problème, même si je suppose qu’il y a certaines exceptions, car il y a des gens qui ont l’air de bien vivre avec ça.
Les ophtalmologistes, les opticiens et les chirurgiens se frottent les mains (on ne va pas demander à un boulanger de ne pas vendre son pain) mais bon, on n’est pas là pour leur faire plaisir mais pour vivre notre vie au mieux ! Il faut tenir compte des cas particuliers, mais on devrait tous se tenir la main pour soigner et guérir les troubles visuels, chercher les meilleures solutions et pas les entretenir ni les aggraver.
4. La quatrième bonne raison est que ces problèmes de vue, notamment la presbytie, ont un rapport étroit avec la maladie d’Alzheimer
Et oui, il y a encore pire. Lorsque l’on voit moins bien, on fait moins attention, on regarde moins, on s’habitue à ne pas voir certaines choses et on « passe ». On devient petit à petit plus distrait, moins concentré sur les détails, l’instant présent, on finit par oublier une ou deux choses et ça finit par être les premiers signes de la maladie d’Alzheimer. En effet, les troubles visuels sont associés au stress, à la déprime voire à la dépression, à un certain découragement et à d’autres troubles directement liés à la perte de vision et toutes ses composantes.
Je dois dire que je l’ai moi-même ressenti : je ne faisais plus attention aux détails et j’ai fait quelques bêtises liées à ma distraction. J’ai fait peur mon fils et à moi-même ! Et c’est grâce à cette prise de conscience que je me suis dit « oulala, ma fille, il va falloir que tu t’occupes de ça sinon, tu es encore sur la pente glissante ! ».
5. Et pour finir, la cinquième bonne raison et non la moindre, est que la liberté de nos yeux est en lien avec notre liberté et notre rapport à la vie en général !
Au-delà de la liberté de se mouvoir dans la vie sans accessoire obligatoire, regarder la vie en détails ou voir de loin correspondent à des capacités intellectuelles mais aussi à un certain rapport avec la vie, à l’attention que l’on porte à sa qualité de vie. La vue naturelle nous demande de développer un certain art de vivre. Mieux voir, et goûter aux cinq sens, prendre soin de sa santé à un niveau global, c’est non seulement jouir de la vue, mais jouir de la vie !
Et maintenant, qu’est-ce qu’on peut faire ?
Maintenant, bien sûr, il y a plein d’autres bonnes raisons de prendre soin de sa vue sans lunettes ni intervention, comme des raisons esthétiques, malgré tout le soin que mettent les opticiens dans le design et leurs arguments publicitaires. Vous connaissez sans doute tous comme moi, des personnes qui préfèrent se prendre en photo sans lunettes parce qu’elles savent qu’elles sont mieux sans. Parfois, on ne les reconnaît même pas tellement ça les change ! Je pense, par exemple, aux émissions de relooking.
Sans parler d’argent, avec ce que coûtent les consultations, les lunettes, les lentilles, les accessoires, les accidents, … quand on peut se le payer.
Alors, je crois que ça suffit comme arguments. Ceux qui ne sont pas convaincus garderont leurs lunettes et les changeront régulièrement, et voilà.
Maintenant que nous avons compris pourquoi, j’en entends certains : « Mais Nadège, ok, tu m’as convaincue, comment je peux mettre tout cela en pratique ? »
Ce que je vous propose, c’est de rejoindre mon groupe « La joie de voir« . je vous montrerai tous les exercices de base qui m’ont aidée et qui m’aident encore, mais aussi ceux qui conviennent aux autres troubles que la presbytie, et bien plus, en vidéo, avec des audios et des séances de relaxation et des pdfs créés spécialement pour vous, car j’ai ajouté des éléments de coaching sur la confiance en soi, l’amour, la joie, etc..
Mais vous pourriez à la limite trouver tout cela dans les livres, surtout celui de Meir Schneider. C’est vraiment celui que je préfère et j’en ai lus beaucoup.
Les avantages d’un groupe de soutien
Ce que je peux vous apporter de plus, en plus des vidéos etc., c’est le groupe de soutien que j’ai créé sur Facebook. Ce sera une grande communauté où nous pourrons tous partager nos progrès, demander de l’aide et du soutien, car parfois, lorsqu’on est seul, et qu’on a une montagne à gravir, le chemin peut sembler long et décourageant. Mais ici, vous n’aurez pas ce problème et vous pourrez toujours venir vous poser.
Cependant, si dans cette série de vidéos je vous montre des exercices, il ne s’agit pas que d’exercices. Les yeux, rappelons-le, sont les miroirs de l’âme et comme je suis aussi coach de joie, je ne m’arrêterai pas là.
Vous pourrez vous contenter des exercices et faire des progrès visuels, mais vous pourrez aussi approfondir l’approche mentale, psychologique et spirituelle. Ensemble, nous allons par exemple travailler à débloquer les émotions et les pensées limitantes qui sont derrière les troubles visuels.
Ce ne sera pas obligatoire mais je l’ai conçu pour élargir la vision, et travailler sur le sens de la vie et les sens subtils associés aux sens physiques, comme la clairvoyance.
Nous aurons aussi des live sur Facebook ou sur YouTube pour que ce groupe reste toujours dynamique.
Le groupe servira à nous aider à grandir ensemble et à jouir ensemble d’une vie meilleure.
Quelle importance donnez-vous à votre vue ?
Lorsque j’étais enfant, je voyais très bien. J’en profitais pour dessiner, peindre, écrire des histoires, de la musique et admirer la nature. Les couleurs, les formes, la lumière, c’était magnifique ! J’aimais voir malgré le fait que certaines choses de la vie n’étaient pas belles à voir. J’avoue qu’avec le temps, les blessures, les désillusions, les déceptions, les horreurs du monde, très tôt, j’ai dû souhaiter plus d’une fois que ça s’arrête. J’ai même voulu mourir.
Selon moi, c’est plus ça qui nous fait perdre la vue, pas l’âge en lui-même mais les blessures accumulées et non guéries.
Mais ça, c’était avant; 😉 …avant que je choisisse la joie. Maintenant, je tiens à la vue et à la vie comme à la prunelle de mes yeux. Je veux insuffler la joie dans chaque chose que je fais, dis, et vois. Alors, mes derniers mots seront :
« Réveillez-vous, ouvrez les yeux, voyez et regardez comme la vie est merveilleuse ! Décidez de vivre « La joie de voir «, de jouir de votre vie, de tous vos sens, et partagez cette vision autour de vous !
J’espère que cette vidéo et cet article vous ont apporté de la valeur. En tous temps, prenez soin de vous.
Merci et à très bientôt, je l’espère, dans le groupe « La joie de voir ». ou encore mieux, La Joie du Succès. Vous trouverez tous les renseignements complémentaires en suivant les liens ou dans la Boutique.
Joie et succès,
Nadège Compper
Merci aux auteurs de Pixabay et Fotolia pour leurs belles images.
[1]Référence : Lucie Calvet, avec la collaboration de Pauline Delance, Clément Dufaure, Victor Laliman, Benjamin Quevat, 2014, « Troubles de la vision : sept adultes sur dix portent des lunettes », Études et Résultats, n°881, Drees, juin.https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/