Que faire si mon enfant bégaie ?

Je vais aborder ce sujet car j’ai moi-même souffert de bégaiement et en apprenant à m’épanouir par les divers moyens que je propose dans le cadre de la relaxation holistique, avec succès, évidemment 😉 je suis tout à fait légitime pour en parler.

Le bégaiement trouble souvent les jeunes parents, qui se trouvent désemparés face à ce trouble de la parole ou plutôt, ce trouble de la communication.

J’ai déjà raconté dans un article précédent sur le bégaiement que je pense avoir vécu le bégaiement de l’intérieur puisque j’étais une enfant très timide, et que pendant longtemps, parler et parler en public m’a été difficile, entre des épisodes de nasonnement, de bafouillement, de bredouillement et de bégayage… sans parler des troubles associés à toutes ces manifestations (constipation, rougeurs, angines, rhumes, herpès,…) …

Vu de l’intérieur, je peux vous dire que c’est très désagréable. On veut parler mais on ne peut pas, on a comme une boule dans la gorge, on sait ce qu’on a à dire, mais ça ne sort pas… ou très mal !!!

Puisque nous allons parler des enfants et plutôt de prévention car c’est ce qui prime le plus pour moi, je n’entrerai pas dans les détails des causes. Voici les petits conseils que je vous donnerais, si vous avez des questionnements à ce sujet :

1) ne pas s’affoler : c’est un point de départ primordial ! Détendez-vous ! Sachez que la plupart des enfants de 3-4 ans passent par une phase de bégaiement. C’est souvent la façon dont nous y réagissons qui détermine la durée de ce bégaiement…

2) donnez de l’importance au fond plutôt qu’à la forme : souvent, les parents s’inquiètent de la façon de prononcer les mots, mais finalement, ne s’intéressent pas suffisamment à ce que l’enfant veut exprimer. Donc, montrez surtout de l’intérêt pour ce que l’enfant veut dire, attendez patiemment, soyez patient et prévenant, pleins de patience, d’amour et de bienveillance, posez éventuellement des questions pour le guider, et l’enfant finira par s’exprimer. Détendez-vous !

3) donnez le vocabulaire : un enfant jeune qui bégaie le fait aussi souvent par manque de vocabulaire (noms, verbes, adjectifs, etc.). Il cherche ses mots, tourne autour du pot, s’énerve parfois lui-même tout seul, et si on n’a pas la bonne attitude (voir 2), on peut couper la communication.

Si vous comprenez où l’enfant veut en venir, aidez-le, suggérez un mot, sans toutefois parler à sa place. Et poursuivez la conversation, comme nous le faisons tous avec nos amis, etc.

Avoir la bonne attitude permet à l’enfant d’être en confiance, de savoir qu’il est écouté, qu’il a le temps de chercher, de se tromper, de trouver, de parler…

Toutes les activités favorisant le vocabulaire sont à rechercher (lecture, jeux de société, films avec un partage après, etc.). Détendez-vous !

4) Encouragez la prise de parole : communiquez bien vous-même, avec des questions ouvertes et non des questions fermées (ex. Tu as passé une bonne journée ? La question est fermée car elle ne requiert qu’un oui ou un non). Une question ouverte serait plutôt : Qu’est-ce que tu as fait aujourd’hui à l’école, tu me racontes (si tu veux) ?

Vous avez toute une série de livre excellents pour favoriser la communication, dont Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent et bien d’autres, mais cela ne concerne pas seulement la communication avec les enfants, mais la communication avec tout le monde !

Nous sommes en plein dans le sujet, car le bégaiement est un trouble de la communication ! Ce n’est bien souvent que la partie émergée de l’iceberg ! Détendez-vous !

5) Donnez à l’enfant de quoi s’exprimer : le jeu (notamment les jeux de souffle) et les activités artistiques sont des activités idéales pour ce faire ! Un bègue, enfant ou adulte, est souvent quelqu’un de très émotif et très sensible, parfois et souvent très intelligent. Les pensées, les idées, les émotions et les mots se mélangent et circulent très vite dans sa tête et ne sont pas facilement synchronisées avec la lenteur de la parole articulée.

C’est parfois ce surplus d’énergie qui se bloque  à l’intérieur de sa gorge et de son plexus solaire, ce qui se traduit par un trouble de la parole ou du langage en général, dont le bégaiement.

Il a besoin d’exprimer son être profond et cela doit passer par des moments calmes comme des moments d’expression créatrice pour que l’équilibre soit retrouvé. Toutes les activités artistiques sont conseillées : chant, musique, danse, théâtre, mime, dessin, peinture, modelage, mosaïque, écriture, etc.

Personnellement, j’ai eu besoin de faire tout ceci… et je continue notamment avec ce blog ! J’espère que ça se voit que je m’éclate à écrire et à partager tout ce que j’aime et ce qui me préoccupe ! 🙂

Le tout est de savoir se respecter, s’écouter et s’écouter les uns les autres, aller vers ce qu’on aime et de toujours se sentir bien maintenant et toujours mieux. Détendez-vous !

6) Apprenez-lui à prendre du plaisir dans la vie : c’est le résumé de tout ce qui précède, selon moi. Parler ne doit pas être une contrainte, mais un partage dans le plaisir, une occasion de communiquer, de partager des instants de bien-être et d’amour avec les autres, une occasion de se sentir aimé et joyeux, une occasion de partager sa joie de vivre en toute liberté !

Il faut aussi pouvoir arrêter de se juger, de juger les autres et être libre du jugement des autres : tout un programme ! Détendez-vous !

Et la parole se libère automatiquement ! 🙂

Ce peut être un parcours assez court ou long, mais il me semble que je vous ai expliqué la trajectoire pour la libération de la communication ! Plus vous commencez tôt, mieux ce sera pour vous et votre enfant !

couverture RESPIRER plus étroite

Je vous mets la couverture de mon livre sur la respiration, car l’image que j’ai choisie est très explicite pour moi : une enfant joyeuse et libre dans la nature, une jolie petite robe jaune comme le plexus solaire, des bulles de savon qui évoquent le jeu, le souffle et les bulles de champagne, la tête et les bras tendus vers le ciel et les pieds sur terre…

Ce livre est l’aboutissement de tout mon propre cheminement autour de la respiration et de la communication, pour aboutir à ce que nous recherchons tous (je crois) : le bonheur et la joie de vivre !

Si on m’avait dit, à l’époque où je bégayais, que j’allais devenir relaxologue, faire des conférences, des ateliers de relaxation et écrire des livres, j’aurais rigolé sous cape… Mais c’est vrai, je vais bien et toujours mieux et je sais de quoi je parle ! ! 😉

J’espère que cet article aura répondu à vos questions. Si vous avez des commentaires ou encore des questions, n’hésitez pas à les partager ici ! Heureusement que j’ai mes statistiques dans le back-office, car je sais que vous êtes de plus en plus nombreux à venir ici et parfois même depuis le bout du monde !

Merci, merci, merci ! Et surtout, communiquez le mieux possible dans la joie et la détente !

A très bientôt,

Nadège COMPPER. Relaxation holistique.

Savez-vous planter un arbre à la mode d’Ecosia ?


Comment espérer Réussir en Beauté sans tenir compte de son environnement ?

Nous n’irions certainement pas bien loin si nous ne prenions pas en compte les besoins des uns et des autres, ainsi que les besoins fondamentaux tels que la pureté de l’air que nous respirons. Voilà pourquoi planter des arbres est si important ! Ils nous donnent de l’oxygène et absorbent le dioxyde de carbone que nous rejetons !

Vous savez désormais que la respiration est un élément primordial de la réussite !

Comme les forêts sont les poumons de la Terre et que celles-ci sont en grave  danger, à cause de la déforestation à outrance en Amazonie et dans d’autres pays, pour des raisons d’avidité économique dénuée de bon sens, c’est un problème qui doit être résolu. Cependant, fort heureusement, il existe de nombreuses initiatives visant à redresser la barre, dont celle du moteur de recherche ECOSIA.

Découvrez comment vous pouvez très facilement contribuer à

reboiser la Terre avec Ecosia…

Et vous savez pourquoi je sais que c’est un bon moteur de recherche ? Parce qu’il trouve Réussir en Beauté, pardi ! 🙂

Pourtant, cela fait quelque temps que j’en avais entendu parler, mais j’avais des doutes… Heureusement que d’autres personnes leur ont fait confiance et c’est si simple :

Vous téléchargez l’application sur google chrome (vous en avez même pour votre Iphone ou votre Ipad) et vous avez la possibilité d’utiliser Ecosia pour toutes vos recherches ! En deux clics, j’avais déjà planté deux arbres !

Je trouve que pour une réussite, c’est une réussite en beauté, car nous nous devons d’encourager toutes les initiatives qui respectent la planète Terre !

Très belle journée à vous, plantez beaucoup beaucoup d’arbres et…

Vivez la joie de respirer, respirez la joie de vivre !

A très bientôt,

Nadège COMPPER.

Les vertus du sourire…

Smiles

Commençons donc par :


« Un Sourire »

« Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup
II enrichit ceux qui le reçoivent
Sans appauvrir ceux qui le donnent
II ne dure qu’un instant
Mais son souvenir est parfois éternel.
Personne n’est assez riche pour s’en passer.
Personne n’est assez pauvre pour ne pas le mériter.

Il crée le bonheur au foyer
II est le signe sensible de l’amitié.
Un sourire donne du repos à l’être fatigué,
Rend du courage aux plus découragés.
Il ne peut ni s’acheter, ni se prêter, ni se voler
Car c’est une chose qui n’a de valeur
Qu’à partir du moment où il se donne.

Et si quelquefois vous rencontrez une personne
Qui ne sait plus avoir le sourire,
Soyez généreux, donnez-lui le vôtre.
Car nul n ‘a autant besoin d’un sourire,
Que celui qui ne peut en donner aux autres. »

(auteur Raoul Follereau)

Je vous livre ici un article de Lionel Boulli, Relaxologue, sur le sourire (j’ai juste souligné quelques idées en rose) :

Depuis peu, la science s’intéresse au sourire… En effet, des chercheurs américains ont découvert que le sourire avait des effets bénéfiques sur la santé.

Le sourire déclencherait des modifications biochimiques dans le cerveau qui libérerait le stress, l’inquiétude et les tensions que l’on peut accumuler tout au long de la journée. Il permettrait donc d’augmenter notre bien-être, mais aussi celui des autres.

Les bienfaits du sourire

17 muscles et 17 secondes de sourire sincère sont nécessaires pour inonder notre cortex de bien-être. Le mouvement développé par les muscles faciaux au moment du sourire favorise en effet la production d’endorphines et plongent notre cerveau dans un état de détente.

Cette subtile expression permet non seulement de provoquer une douce euphorie chez soi, mais aussi chez les autres ! Le sourire est communicatif.

Une étude a en effet démontré qu’un sourire sincère envers une autre personne peut entraîner, par réaction en chaîne, jusqu’à 500 sourires dans une journée.

À l’inverse, lorsque l’on est en colère, inquiet, triste, dépressif, que l’on a peur ou que l’on est stressé, nos organes produisent une sécrétion toxique qui forment des blocages dans l’organisme et peuvent engendrer des maladies chroniques.

Le sourire intérieur : une méthode ancestrale

Pour les orientaux, le sourire et ses bienfaits sont chose connue depuis 5000 ans. Les maîtres taoïstes avaient constaté que le sourire était garant de santé, de bonheur et de longévité.

Cette observation les a incités à mettre en pratique le sourire intérieur (Regardez la photo de la statue de Bouddha et le sourire caractéristique conseillé en méditation que l’on voit normalement sur la plupart des représentations du Bouddha)

Bouddha or.

À mi-chemin entre relaxation et méditation, le sourire intérieur consiste tout d’abord à imaginer ou visualiser une personne, une situation positive qui nous mette dans un état de calme.

Puis, comme son nom l’indique, il consiste à sourire à l’intérieur. On peut alors sourire à n’importe quelle partie de son corps et ressentir les nombreux bienfaits de cette belle pratique.

Le sourire intérieur permet de prendre conscience de notre corps grâce au ressenti, et ainsi de porter notre attention sur le moment présent. Il est particulièrement indiqué pour toutes les situations de mal-être et de manque d’Estime de soi.

Le sourire sincère provenant du coeur n’est cependant pas chose aisée. Il nécessite de prendre du recul sur la vie, de prendre les choses avec bonne humeur et parfois de ne plus se prendre au sérieux.

Exemple d’exercice à suivre :

Voici un exercice simple et efficace de 5 minutes qui, pratiqué régulièrement, neutralisera les tensions physiques et psychiques accumulées au cours de la journée.

1) Asseyez-vous sur le bord d’une chaise, les épaules relâchées, les mains à plat sur les cuisses et les yeux fermés.

2) Faites quelques respirations abdominales.

3) Visualisez une personne ou une image qui vous donne le sourire.

4) Laissez venir doucement un sourire sincère sur vos lèvres.

5) Ressentez dans les yeux une douce lumière (ou un sourire), qui rayonne au visage et descend dans le cou, les poumons, l’estomac, le foie, les reins…

6) Laissez revenir la lumière aux yeux et sourire au corps entier.

7) Puis offrez votre sourire en le laissant sortir par les yeux.

« Avant d’être offert à l’autre, le sourire doit d’abord être intérieur et trouver sa source en soi. » Maryse Vaillant, psychiatre.

Lionel Boulli, Relaxologue

10/05/11/ Article emprunté au site Bien-être au travail.

Merci, maintenant, vous savez ce qui vous reste à faire : souriez ! 🙂

Aujourd’hui est l’occasion rêvée de s’y mettre et de s’y remettre, car nous sommes lundi et c’est la semaine de la rentrée scolaire (en France) !

Souvenez-vous encore et toujours que notre état d’esprit influence également le déroulement même de notre journée (voir Qu’est-ce que la loi de l’attraction ) ! 🙂

Je vous propose d’autres exercices pour retrouver la joie de vivre dans mon livre

‘Vivre la joie de respirer, respirer la joie de vivre » (disponible en version kindle, papier et bientôt disponible en anglais sous le titre « Be happy to breathe,  be happy to live ».

A très bientôt,

Nadège COMPPER.