Lâcher prise, mais à propos de quoi ?

bouddha couchéAprès un texte sur le lâcher prise, je vous propose aujourd’hui un conte qui traite également de ce sujet, tant c’est un sujet important et encore d’actualité ! Comme souvent, j’ai juste mis en évidence certains mots importants…

Les Trois Portes de la Sagesse 

Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, généreux et intelligent. Pou parfaire son apprentissage de la Vie, il l’envoya auprès d’un Vieux Sage.

– Éclaire-moi sur le Chemin de la Vie, demanda le Prince.

– Mes paroles s’évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras trois portes. Lis les préceptes inscrits sur chacune d’elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t’en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t’en dire davantage. Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi.

Le Vieux Sage disparut et le Prince s’engagea sur le Chemin de la Vie. Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire: 

“Change le Monde.” 

C’était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d’autres ne me conviennent pas.

Et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir.

Il y trouva le plaisir et l’ivresse du conquérant, mais pas l’apaisement du coeur. Il réussit à changer certaines choses, mais beaucoup d’autres lui résistèrent.

Bien des années passèrent. Un jour, il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda:

– Qu’as-tu appris sur le chemin ?

J’ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m’échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n’en dépend pas.

– C’est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Ne t’acharne pas sur ce qui ne dépend pas de toi.

Et il disparut. Peu après, le Prince arriva devant une seconde porte. On pouvait y lire:

“Change les Autres.”

– C’était bien là mon intention, pensa-t-il . Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d’amertume et de frustration. Et il s’insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat.

Bien des années passèrent.

Un jour, alors qu’il méditait sur l’inutilité de ses tentatives de vouloir changer le autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda:

– Qu’as-tu appris sur le chemin ?

J’ai appris, répondit le Prince, que les agissements des autres ne sont pas la cause de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n’en sont que l’occasion ou le révélateur. C’est en moi que prennent racine toutes ces choses.

– Tu as raison, dit le Sage. Ce qui se réveille en toi quand tu es face aux autres te révèle quelque chose sur toi-même. Sois reconnaissant envers ceux en compagnie de qui tu sens vibrer en toi joie ou plaisir. Sois-le aussi lorsque émerge en leur présence la frustration ou la souffrance, car à travers cela la Vie te montre où tu en es et le chemin qui te reste à parcourir.

Et le Vieil Homme disparut. Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots:

 ”Change-toi toi-même.”

Si je suis moi-même la source de mes problèmes, c’est bien ce qui me reste à faire, se dit-il. Et il entama son troisième combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer en lui tout ce qui ne lui plaisait pas ou ne correspondait pas à son idéal.

Après bien des années de ce combat où il connut quelque succès mais aussi de nombreux déboires, le Prince rencontra le Sage qui lui demanda:

– Qu’as-tu appris sur le chemin ?

J’ai appris, répondit le Prince, qu’il y a en nous des choses qu’on peut améliorer, d’autres qui nous résistent et qu’on n’arrive pas à briser.

– C’est bien, dit le Sage.

– Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de me battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? Quand trouverai-je le repos? J’ai envie de cesser le combat, de renoncer, de lâcher prise.

– C’est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d’aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru. Et il disparut.

Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la troisième porte et s’aperçut qu’elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait:

 “Accepte-toi toi-même.”

Le Prince s’étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu’il avait franchi la porte la première fois, dans l’autre sens. Quand on combat, on devient aveugle se dit-il. Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu’il avait rejeté et combattu en lui: ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons. Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s’aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer.

Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda:

– Qu’as-tu appris sur le chemin ?

J’ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c’est me condamner à ne jamais être en harmonie avec moi-même. J’ai appris à m’accepter moi-même, totalement, inconditionnellement.

– C’est bien, dit le Vieil Homme, c’est la première Sagesse. Maintenant tu peux repasser la troisième porte.

À peine arrivé de l’autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut:

 “Accepte les Autres.”

Tout autour de lui il reconnut les personnes qu’il avait côtoyées dans sa vie. Celles qu’il avait aimées et celles qu’il avait détestées. Celles qu’il avait soutenues et celles qu’il avait combattues. Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir leurs imperfections, leurs défauts, ce qui autrefois l’avait tellement gêné et contre quoi il s’était battu.

Il rencontra alors le Vieux Sage.

– Qu’as-tu appris sur le chemin ? demanda ce dernier.

J’ai appris, répondit le Prince, qu’en étant en accord avec moi-même, je n’avais plus rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d’eux. J’ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement.

– C’est bien, dit le Vieux Sage. C’est la seconde Sagesse. Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte.

Arrivé de l’autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte et y lut:

 “Accepte le Monde.“

Curieux, se dit-il, que je n’aie pas vu cette inscription la première fois. Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu’il avait cherché à conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé par l’éclat et la beauté de toute chose. Par leur Perfection.

C’était pourtant le même monde qu’autrefois. Était-ce le monde qui avait changé ou son regard ?

Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda:

– Qu’as-tu appris sur le chemin ?

J’ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n’est ni triste ni gai. Il est là, il existe, c’est tout. Ce n’était pas le monde qui me troublait, mais l’idée que je m’en faisais. J’ai appris à l’accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement.

– C’est la troisième Sagesse, dit le Vieil Homme. Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde.

Un profond sentiment de Paix, de Sérénité, de Plénitude envahit le Prince. Le Silence l’habita.

– Tu es prêt, maintenant, à franchir le Dernier Seuil, dit le Vieux Sage, celui du passage du Silence de la Plénitude à la Plénitude du Silence.

 Et le Vieil Homme disparut.

 Charles Brulhart Janvier 2004

source : www.metafora.ch

Oui, nous devons encore et toujours, par le lâcher prise, aimer et nous aimer totalement et inconditionnellement.

Ce n’est certes pas un chemin facile mais entre nous, c’est un beau défi à relever ! J’essaie toujours, et surtout, quand je n’y arrive pas, je me pardonne ! C’est aussi cela, l’amour ! 🙂

Vous pouvez poursuivre votre route en lisant mon livre « Vivre la joie de respirer, respirer la joie de vivre », le bonheur étant selon mon expérience, fait de petits pas les uns après les autres, et une respiration à la fois, encore faut-il savoir respirer correctement…

A très bientôt,

Nadège COMPPER.

Les sept lois spirituelles du succès (D.CHOPRA)

Récemment, quelqu’un me demandait la copie du livre du Dr Deepak CHOPRA que je lui conseillais. Evidemment, je ne pouvais pas la lui donner !

Or, je viens de trouver cet enregistrement audio qui s’avère être une belle introduction de ce livre ! Même si vous vous le procurez, ce que je vous conseille vivement (d’autant qu’il est vraiment abordable en édition de poche), vous pouvez aussi écouter cet extrait, ce qui va vous donner une autre expérience de ce livre très édifiant ! Une aide fondamentale pour Réussir en Beauté, quel que soit le domaine où vous voulez réussir !

les-sept-lois-spirituelles-du-succes

Prenez le temps de le faire, vous ne le regretterez pas ! C’est l’occasion d’apprendre ou de faire des révisions indispensables (là, je parle pour moi) ! 😉

Vous découvrirez les sept lois spirituelles du succès qui sont :

1) la loi de la pure potentialité

2) la loi du don

3) la loi du karma

4) la loi du moindre effort

5) la loi de l’intention et du désir

6) la loi du détachement

7) la loi du dharma

Ce livre m’a profondément aidée dans mon développement personnel (à la suite de quoi j’ai pu écrire mon livre « Les secrets de la réussite scolaire« ), et il continue de le faire, mais attention, il demande du travail et de la persévérance. C’est, je crois, le travail de toute une vie et en le réécoutant, je me rends compte qu’il me reste encore beaucoup de chemin à parcourir !

Deepak CHOPRA est selon moi, un maître très important pour l’ouverture de conscience de ce monde. Ses ouvrages sont d’une grande sagesse, vous êtes sur le point de vous en rendre compte !

Deepak-Chopra

Un autre livre que j’ai trouvé indispensable est Le livre des coïncidences, du même auteur.

Si vous avez écouté ou lu ce livre, vous aurez compris l’importance du silence et de la méditation.

Si vous le pouvez, venez vous relaxer et méditer avec nous lors des Ateliers de relaxation, qui incluent des courtes phases de méditation.

Courage et à très bientôt !

Nadège COMPPER.

P.S. Plus de détails sur Deepak CHOPRA ici… et si Youtube finissait par bloquer cette vidéo, veuillez me le signaler, svp ! Vous auriez toujours le livre papier !

Apprendre à lire avec quelle méthode ? 2)

 

Après la première partie, où je vous parlais de la méthode globale, je reviens vers vous pour vous parler de la méthode syllabique ou analytique.

Pourquoi est-ce la meilleure méthode d’apprentissage ?
Je vous répondrai par une question : vaut-il mieux donner un poisson à quelqu’un qui a faim, ou lui donner les moyens de pêcher, pour qu’il puisse manger autant de fois qu’il le désirera ?
C’est exactement ainsi que fonctionne la méthode syllabique : on donne les éléments de base, on explique comment se construisent les mots, et le lecteur peut lire absolument tout ce qu’il veut, puisqu’il a le mode d’emploi !

Il devra par contre, s’entraîner jusqu’à parfaire son art, faire usage de son intelligence, de sa mémoire, de son libre arbitre pour choisir parfois entre deux façons de prononcer, il devra penser, chercher, trouver, comprendre…
Logiquement, il pourra mieux par la suite, réfléchir pendant qu’il écrit, parce que toutes ces qualités seront déjà plus riches en lui.

Alors que bien souvent, ceux qui n’aiment pas la lecture et/ou l’orthographe ou sont mauvais en orthographe, n’utilisent pas ou peu leur mémoire (visuelle ou auditive), ni leur sens de la réflexion, l’anticipation, l’analyse et toutes autres choses qui sont bonnes dans d’autres domaines de la vie courante.

Rassurez-vous, ce sont des qualités qui se travaillent et qui peuvent s’acquérir, avec un peu de bonne volonté ! Rien d’irrémédiable ! Diable ! 🙂

Toutes ces qualités sont inhérentes à la méthode syllabique !

Comprenez-vous mieux pourquoi il est préférable que les enfants apprennent à lire avec cette méthode ?

 

Et que dire de ces photocopies en noir en blanc au lieu des magnifiques livres de lecture en couleurs qui donnent envie de lire ? Cet été, je me suis racheté mon livre que j’avais au CP, qui est toujours en vente… On en reparlera une autre fois !

Je vous rappelle de vous en procurer pour l’apprentissage de la lecture (voir Boutique de l’A Réussite).

Bref, on n’est pas là pour se fâcher, mais pour progresser ! Revenons à notre sujet.

Et d’après vous, pourquoi enseigne-t-on encore la méthode globale ? Qui aurait intérêt à ce que les gens n’apprennent pas à réfléchir, à penser, à choisir, à entretenir leur esprit critique, à devenir autonome et responsable ?
Qui a intérêt à ce que la population ne lise pas ou peu et accède ainsi à moins de connaissance ?

Je vous laisse chercher vos réponses… Rappelez-vous toutefois que le premier geste de tous les dictateurs a été de brûler les livres pour que le peuple n’ait pas accès à la connaissance, tout en imposant certains ouvrages, pour mieux formater l’esprit des gens… Sachez aussi que ceux qui réussissent mieux sont la plupart du temps de grands lecteurs, ne serait-ce qu’une page par jour !

La lecture est l’une des premières clés pour l’accès  à la connaissance et à la liberté, parce qu’elle nous fait réfléchir et nous apprend à réfléchir, si nous utilisons la méthode syllabique avec un fort projet de compréhension.

Si « on » ne se bouge pas pour vous donner le meilleur, bougez-vous !!!

Je fais partie d’une famille de gens qui veulent que les enfants apprennent, que les enfants sachent, que les enfants utilisent intelligemment leur cerveau et leur libre arbitre, que les enfants soient heureux, et les parents aussi, car c’est le but des buts; j’en ai fait ma profession… de foi !

Les enjeux ne sont pas forcément d’ordre matériel, et comme vous le savez, je réfléchis aux aspects spirituels en toute chose.

Je dis cela aussi pour les enseignants, les éducateurs, etc., pour qu’ils comprennent, si besoin était, leur rôle essentiel et leur mission. Vous ne faites pas ce travail  seulement pour gagner de l’argent, vous enseignez aux enfants (et aux parents au passage) à devenir grands et autonomes, vous leur enseignez une clé importante pour poursuivre leur développement personnel.

C’est une clé pour qu’ils soient libres et heureux.

C’est ainsi que je vois ma mission, c’est pourquoi je suis encore et toujours motivée par ce que je fais (après plusieurs phases de découragement) et que je cherche tous les moyens de libérer les pensées limitantes.

Se définir comme ayant une maladie déterminée ou un problème déterminé, c’est une pensée limitante !

C’est pareil pour toutes les maladies mais ça, c’est encore un autre sujet (brûlant) ! Voir Comment reprendre le contrôle de notre santé.

Mais moi, cela me dérange, et je ne pense pas être la seule ! J’en ai parlé dans mon livre « Les secrets de la réussite scolaire », au sujet du problème des étiquettes et des catégories. Tout ceci limite le champ des possibles et c’est bien dommage !

Les Secrets Livre

Pour libérer tous ces freins qui viennent parfois de très loin (non, ce ne sont pas toujours que les méthodes ou les pédagogues qui sont les causes des difficultés ;-), le problème est souvent bien plus complexe que cela; je provoque, mais je ne suis ni méchante ni totalement idiote…).

En relaxation holistique, j’utilise au besoin, l’éducation kinesthésique qui utilise des outils de PNL, le rire, l’humour, l’art, je fais appel à des énergéticiens, etc.

Quand on retrouve des  émotions et lune volonté saines, le travail peut alors commencer et être vraiment efficace.

Par contre, je vous donne également quelques indices pour que la méthode syllabique soit plus simple à utiliser :

-prononcez les sons purs des lettres et pas leur nom (« p » , c’est une petite explosion, comme la fin du mot « soupe » -je fais une soupe aux oignons pour ce soir… 😉

et pas « pé » et «  » ça fait « pa ».

-ne dites pas « pé » ET « a » car le ET est un obstacle entre les deux sons purs, un élément inutile pour les faire fusionner. Dites plutôt « p » « a » « pa », etc.

Jouez avec les sons, jouez avec votre enfant, montrez-lui combien c’est un jeu important et utile, faites-lui comprendre que vous lui donnez une baguette magique, un précieux trésor pour lequel des hommes se sont battus, une clé vers la liberté de penser !

J’espère que vous comprenez mes propos, ce n’est pas facile à expliquer par écrit. Je ferai peut-être une vidéo ou une présentation powerpoint pour mieux vous montrer tout cela, restez vigilants à propos de mes prochains sujets (abonnez-vous à ma newsletter en suivant ce blog ou en m’écrivant un message).

Je m’arrête ici, vous pouvez vous reporter à mon livre pour plus de renseignements, précisions ou me poser directement vos questions. J’ai tenté de vous donner le maximum d’informations qui peuvent vous aider à aider votre enfant, en tenant compte de la globalité du problème (c’est un abécédaire, donc très interactif, vous piochez vos réponses au fil de vos questions).

http://publibook.com (rubrique Famille).

Les Secrets Livre

Témoignage : « Merci aussi pour ton livre « Les secrets de la réussite scolaire » qui est tout simplement incontournable.  »

Alors, qu’attendez-vous pour l’acheter et courir vers la réussite scolaire en famille ? 😉

Si vous avez des questions ou des commentaires, je tâcherai de vous répondre le plus vite possible et si je n’ai pas la réponse, je tenterai de la trouver et vous m’aurez fait progresser grâce à vos demandes !

A très bientôt,

Nadège COMPPER. Relaxation holistique.

Voir aussi « Comment devenir idiot », du Pr Albert JACQUARD.