Quand Amour rime avec Réussite…1)
J’aimerais partager avec vous le premier chapitre de mon livre « Les secrets de la réussite scolaire », chapitre que j’avais déjà partagé sur mon premier blog éponyme, avant même l’édition du livre -qui est en fait une auto-édition simplifiée que je n’ai toujours pas rentabilisée faute de moyens et de publicité, mais il faut savoir ce que l’on veut et ne pas s’arrêter aux obstacles !
Si l’on en croit l’avis des lecteurs et lectrices qui ont bien voulu me le donner (cf. « Les secrets de la réussite scolaire« ), j’ai eu raison de le faire !
Si l’amour seul ne suffit pas, il contribue grandement à la réussite, quand on s’applique à pratiquer le véritable amour dont je vais détailler les qualités essentielles ci-après. C’est bien la raison pour laquelle le mot AMOUR est le premier de mon abécédaire !
Je me rappelle avoir beaucoup hésité à écrire ce chapitre mais il devenait de plus en plus évident que cet aspect devrait retrouver sa juste place et que je me devais d’en parler, à mes risques et périls… Evidemment, parler de « spiritualité » (même laïque) et d »amour » dans un livre sur la réussite scolaire, c’est casse-gueule… 😉
Pourtant… L’amour est une force qui permet d’aborder toutes les difficultés avec plus de sérénité, tout en trouvant des solutions qui nous font aller de l’avant. Si vous enlevez le coeur, le corps ne peut pas fonctionner et il en va de même pour notre société !
C’est aussi avec amour que je tente de recevoir les personnes qui me font confiance (enfants et parents compris).
Deepak CHOPRA, qui est en quelque sorte mon mentor, a une phrase merveilleuse qui m’aide beaucoup :
« Quoi qu’il arrive, je reste profondément calme et je me sens infiniment béni(e) ». Aimée, tout simplement…
AMOUR. Aimez-vous les uns les autres.
Je commencerai donc par ce mot, car je pense que tout ce qui est fait avec amour a toujours meilleur goût. N’oubliez donc pas d’assaisonner d’amour toutes vos actions en vue de faire progresser votre enfant et votre vie en général.
Mais un parent plein d’amour est parfois un parent maladroit, surtout quand il s’agit d’objectifs scolaires à réaliser. La psychologue Claude HALMOS, a intitulé un de ses livres « Pourquoi l’amour ne suffit pas » ; permettez-moi de dire a contrario que si l’on redonne ses qualités intrinsèques et puissantes à l’amour, il suffirait amplement à atteindre notre objectif de réussite !
Nous allons donc essayer d’apprendre comment votre amour peut aider votre enfant à mieux lire et à mieux travailler en général, tout en le rendant heureux. Si vous le permettez, je vais m’inspirer d’un texte très ancien qui parle très bien de l’amour :
L’amour pardonne tout. D’ores et déjà, excusez les erreurs de votre enfant, mais aussi les vôtres, car tout le monde en a fait ou en fait tous les jours. L’essentiel est d’avoir de bonnes intentions et cela évite de s’énerver et de se culpabiliser inutilement. Pardonnez-lui ses erreurs (et les vôtres), en essayant de les comprendre ensemble pour qu’elles vous aident à progresser.
L’amour supporte tout. Supporter, ici, doit être compris comme soutenir et aider. Par exemple, en lecture, si votre enfant bute sur un mot, au lieu de lui dire de recommencer et de vous buter vous aussi, pourquoi ne pas lire cette difficulté à sa place et passer à la suite du texte ? Ce sera sans doute plus agréable qu’un affrontement bégayant et stérile. L’enfant se sentira compris, soutenu, aidé et passera à la suite plus sereinement. L’exemple vaut pour tous les apprentissages de la vie. Soyez un soutien pour votre enfant qui apprend à grandir dans tous les domaines de sa vie.
L’amour est généreux. Donner à un enfant, c’est d’abord donner de son temps et de son écoute. L’enfant aura toujours plus besoin de cela que de choses matérielles. C’est par exemple jouer le plus souvent possible avec votre enfant dès son plus jeune âge. Les jeux de société rapprochent les personnes et favorisent énormément de choses (communication, langage, règles de vie en société, connaissances, etc.).
Dans le domaine du scolaire, être généreux, ce sera par exemple lire pour votre enfant, même et surtout pendant ses premiers apprentissages. Au début, l’enfant devient lecteur mais ne l’est pas encore. Il ne sait pas encore lire couramment et il a encore besoin que vous le souteniez, il a encore besoin de ces moments de partage et de plaisir où vous lui racontez des histoires, où vous lisez un magazine ensemble, etc. Tant qu’il n’est pas à l’aise, soutenez-le, accompagnez ses premiers pas, exactement comme vous l’avez fait pour la marche ! Vous pouvez même continuer à lire des histoires à vos enfants plus grands. Moi-même, j’ai souvent eu plaisir à écouter des histoires à la radio !
Soyez généreux de votre personne, et bien que ce ne soit pas le but recherché, vous recevrez d’autant plus que vous aurez donné avec qualité !
L’amour ne regarde pas son propre intérêt. Sans aller jusqu’à oublier vos propres désirs et besoins, sachez évaluer ce qui est bon pour votre enfant, avant tout, même si ce choix vous impose quelques contraintes…
Quelques petits sacrifices, vous le verrez, influencent grandement la qualité de communication que vous aurez avec votre enfant. Si vos sacrifices sont faits avec amour, ils ne devraient pas vous frustrer et ils vous apporteront beaucoup (ex. regarder mon feuilleton préféré ou jouer avec lui ? Faire un gâteau avec lui, au risque d’aller moins vite, d’en mettre partout, ou partager avec lui ce moment riche d’apprentissages ?).
Les sacrifices que l’on fait pour ses enfants, s’ils sont faits avec amour et respect de chacun, s’avèrent enrichissants pour toute la famille.
Un autre aspect de cet amour désintéressé, est le fait qu’il faut toujours avoir en tête que l’enfant doit grandir, s’épanouir et devenir autonome. Les parents doivent savoir éduquer leur enfant dans ce sens, leur apprendre pour qu’ensuite, ils sachent se débrouiller seuls. On ne fait pas son enfant pour soi-même. Aussi, quand vous hésitez à être autoritaire, ou du moins à exiger quelque chose de vos enfants, demandez-vous ce qu’il ferait sans vous, plus tard, dans la même situation. Si vous ne leur apprenez pas à devenir grands et forts, quel avenir leur préparez-vous ? Quel adulte sera votre enfant si vous décidez aujourd’hui ceci ou cela ?
Si vous y réfléchissez bien, et que vous ne regardez pas votre propre intérêt (ex. c’est souvent plus confortable pour le parent de dire « oui » que « non », c’est fort agréable pour soi-même de câliner l’enfant comme un bébé mais doit-il rester un bébé et se comporter comme tel ?) vous saurez prendre la bonne décision.
Je dis cela particulièrement pour les parents qui sont surprotecteurs ou trop laxistes. Reportez-vous à la loi du karma pour comprendre les conséquences à court, moyen et long terme de vos attitudes parentales. »
Ici s’arrête le premier extrait. vous pouvez bien sûr poursuivre votre lecture en lisant le livre ! Les secrets de la réussite scolaire » (Publibook).
A très bientôt,
Nadège COMPPER. Relaxation holistique.



Apprendre à lire avec quelle méthode ? 2)
Après la première partie, où je vous parlais de la méthode globale, je reviens vers vous pour vous parler de la méthode syllabique ou analytique.
Pourquoi est-ce la meilleure méthode d’apprentissage ?
Je vous répondrai par une question : vaut-il mieux donner un poisson à quelqu’un qui a faim, ou lui donner les moyens de pêcher, pour qu’il puisse manger autant de fois qu’il le désirera ?
C’est exactement ainsi que fonctionne la méthode syllabique : on donne les éléments de base, on explique comment se construisent les mots, et le lecteur peut lire absolument tout ce qu’il veut, puisqu’il a le mode d’emploi !
Il devra par contre, s’entraîner jusqu’à parfaire son art, faire usage de son intelligence, de sa mémoire, de son libre arbitre pour choisir parfois entre deux façons de prononcer, il devra penser, chercher, trouver, comprendre…
Logiquement, il pourra mieux par la suite, réfléchir pendant qu’il écrit, parce que toutes ces qualités seront déjà plus riches en lui.
Alors que bien souvent, ceux qui n’aiment pas la lecture et/ou l’orthographe ou sont mauvais en orthographe, n’utilisent pas ou peu leur mémoire (visuelle ou auditive), ni leur sens de la réflexion, l’anticipation, l’analyse et toutes autres choses qui sont bonnes dans d’autres domaines de la vie courante.
Rassurez-vous, ce sont des qualités qui se travaillent et qui peuvent s’acquérir, avec un peu de bonne volonté ! Rien d’irrémédiable ! Diable ! 🙂
Toutes ces qualités sont inhérentes à la méthode syllabique !
Comprenez-vous mieux pourquoi il est préférable que les enfants apprennent à lire avec cette méthode ?
Et que dire de ces photocopies en noir en blanc au lieu des magnifiques livres de lecture en couleurs qui donnent envie de lire ? Cet été, je me suis racheté mon livre que j’avais au CP, qui est toujours en vente… On en reparlera une autre fois !
Je vous rappelle de vous en procurer pour l’apprentissage de la lecture (voir Boutique de l’A Réussite).
Bref, on n’est pas là pour se fâcher, mais pour progresser ! Revenons à notre sujet.
Et d’après vous, pourquoi enseigne-t-on encore la méthode globale ? Qui aurait intérêt à ce que les gens n’apprennent pas à réfléchir, à penser, à choisir, à entretenir leur esprit critique, à devenir autonome et responsable ?
Qui a intérêt à ce que la population ne lise pas ou peu et accède ainsi à moins de connaissance ?
Je vous laisse chercher vos réponses… Rappelez-vous toutefois que le premier geste de tous les dictateurs a été de brûler les livres pour que le peuple n’ait pas accès à la connaissance, tout en imposant certains ouvrages, pour mieux formater l’esprit des gens… Sachez aussi que ceux qui réussissent mieux sont la plupart du temps de grands lecteurs, ne serait-ce qu’une page par jour !
La lecture est l’une des premières clés pour l’accès à la connaissance et à la liberté, parce qu’elle nous fait réfléchir et nous apprend à réfléchir, si nous utilisons la méthode syllabique avec un fort projet de compréhension.
Si « on » ne se bouge pas pour vous donner le meilleur, bougez-vous !!!
Je fais partie d’une famille de gens qui veulent que les enfants apprennent, que les enfants sachent, que les enfants utilisent intelligemment leur cerveau et leur libre arbitre, que les enfants soient heureux, et les parents aussi, car c’est le but des buts; j’en ai fait ma profession… de foi !
Les enjeux ne sont pas forcément d’ordre matériel, et comme vous le savez, je réfléchis aux aspects spirituels en toute chose.
Je dis cela aussi pour les enseignants, les éducateurs, etc., pour qu’ils comprennent, si besoin était, leur rôle essentiel et leur mission. Vous ne faites pas ce travail seulement pour gagner de l’argent, vous enseignez aux enfants (et aux parents au passage) à devenir grands et autonomes, vous leur enseignez une clé importante pour poursuivre leur développement personnel.
C’est une clé pour qu’ils soient libres et heureux.
C’est ainsi que je vois ma mission, c’est pourquoi je suis encore et toujours motivée par ce que je fais (après plusieurs phases de découragement) et que je cherche tous les moyens de libérer les pensées limitantes.
Se définir comme ayant une maladie déterminée ou un problème déterminé, c’est une pensée limitante !
C’est pareil pour toutes les maladies mais ça, c’est encore un autre sujet (brûlant) ! Voir Comment reprendre le contrôle de notre santé.
Mais moi, cela me dérange, et je ne pense pas être la seule ! J’en ai parlé dans mon livre « Les secrets de la réussite scolaire », au sujet du problème des étiquettes et des catégories. Tout ceci limite le champ des possibles et c’est bien dommage !
Pour libérer tous ces freins qui viennent parfois de très loin (non, ce ne sont pas toujours que les méthodes ou les pédagogues qui sont les causes des difficultés ;-), le problème est souvent bien plus complexe que cela; je provoque, mais je ne suis ni méchante ni totalement idiote…).
En relaxation holistique, j’utilise au besoin, l’éducation kinesthésique qui utilise des outils de PNL, le rire, l’humour, l’art, je fais appel à des énergéticiens, etc.
Quand on retrouve des émotions et lune volonté saines, le travail peut alors commencer et être vraiment efficace.
Par contre, je vous donne également quelques indices pour que la méthode syllabique soit plus simple à utiliser :
-prononcez les sons purs des lettres et pas leur nom (« p » , c’est une petite explosion, comme la fin du mot « soupe » -je fais une soupe aux oignons pour ce soir… 😉
et pas « pé » et « » ça fait « pa ».
-ne dites pas « pé » ET « a » car le ET est un obstacle entre les deux sons purs, un élément inutile pour les faire fusionner. Dites plutôt « p » « a » « pa », etc.
Jouez avec les sons, jouez avec votre enfant, montrez-lui combien c’est un jeu important et utile, faites-lui comprendre que vous lui donnez une baguette magique, un précieux trésor pour lequel des hommes se sont battus, une clé vers la liberté de penser !
J’espère que vous comprenez mes propos, ce n’est pas facile à expliquer par écrit. Je ferai peut-être une vidéo ou une présentation powerpoint pour mieux vous montrer tout cela, restez vigilants à propos de mes prochains sujets (abonnez-vous à ma newsletter en suivant ce blog ou en m’écrivant un message).
Je m’arrête ici, vous pouvez vous reporter à mon livre pour plus de renseignements, précisions ou me poser directement vos questions. J’ai tenté de vous donner le maximum d’informations qui peuvent vous aider à aider votre enfant, en tenant compte de la globalité du problème (c’est un abécédaire, donc très interactif, vous piochez vos réponses au fil de vos questions).
http://publibook.com (rubrique Famille).
Témoignage : « Merci aussi pour ton livre « Les secrets de la réussite scolaire » qui est tout simplement incontournable. »
Alors, qu’attendez-vous pour l’acheter et courir vers la réussite scolaire en famille ? 😉
Si vous avez des questions ou des commentaires, je tâcherai de vous répondre le plus vite possible et si je n’ai pas la réponse, je tenterai de la trouver et vous m’aurez fait progresser grâce à vos demandes !
A très bientôt,
Nadège COMPPER. Relaxation holistique.
Voir aussi « Comment devenir idiot », du Pr Albert JACQUARD.
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Publié le 17 septembre 2013 par Nadège COMPPER
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