Aimez-vous les bonnes nouvelles ?

OLYMPUS DIGITAL CAMERAComme vous le savez, j’aime écrire, mais pas seulement des articles de blog !

J’aime également écrire des chansons (je suis aussi auteur-compositeur-interprète inscrite à la SACEM depuis très longtemps, et je suis sûre qu’un jour, je me sentirai assez libre et sûre de moi pour développer sérieusement tout ça); j’écris surtout des contes et des histoires depuis quelques années, mais jusque là, je n’avais juste pas intégré que c’était une activité qui me remplissait vraiment de joie, plus que toutes les activités artistiques que j’ai pu avoir dans ma vie et que j’ai encore !

Encore merci pour vos réponses à mon sondage, avec mes conversations avec qui vous savez 😉 (cf. Qu’est-ce que le développement personnel ?« ), cela m’a aidée à écouter mes ressentis et à aller de l’avant ! Je m’accorde de plus en plus le droit d’être heureuse et de m’éclater donc ce ne sera que du bonheur ! 🙂 C’est cela, le développement personnel ! Je vous dis tout cela pour que vous en fassiez autant (vous faire plaisir et rayonner de joie) !

Avec l’écriture imaginative, je peux créer mes univers, créer des personnages, vivre leurs émotions (parfois je pleure même beaucoup mais je vis leur colère et je ris aussi, enfin, toutes les émotions sont les bienvenues, si j’arrive à les transcender !)…

En écrivant, je peux peindre avec des mots, mettre de la musique dans la vie de mes personnages et dans leurs mots, je peux les faire danser, manger ou vivre d’amour et d’eau fraîche, je peux voyager très écologiquement, rêver et même refaire le monde… et je pourrais même au besoin les illustrer, c’est encore l’un de mes voeux pour l’avenir ! 🙂

Tout ceci pour vous annoncer que je viens de publier une nouvelle que j’ai écrite il y a trois ans, en version kindle (pour commencer ?), intitulée « La baie de tous les seins… » sous mon nom d’artiste SereNad (prononcez Séré comme Sérénité, Nad comme mon prénom).

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Présentation du livre :

Lucia, ancienne danseuse de samba, vient d’apprendre une nouvelle effroyable qui va changer le cours de son existence en l’aidant à voir la richesse de ce qui l’entoure, mais aussi en lui donnant l’occasion d’affronter ses peurs et ses vieux démons…

C’est l’occasion de faire un voyage à Salvadore de Bahia  pour goûter à distance aux saveurs de cette ville où se trouve La baie de tous les Saints (oui, j’ai osé ce méchant jeu de mots au tout dernier moment,  alors que le premier titre était « Le dernier bal des jumelles »… 😉 mais comme personne n’avait apparemment pris ce titre avant moi, eh bien, j’ai sauté sur l’occasion parce que cela me faisait plaisir !).

C’est donc là, à Salvadore de Bahia, que vous découvrirez l’histoire de Lucia, mon héroïne. Ce sera aussi le début d’une longue quête qui commence dans le passé lointain de Lucia, avec sa mère, sa grand-mère et même son arrière grand-mère (cela nous mènera normalement au premier jour de l’abolition de l’esclavage au Brésil) mais ce sera pour une suite que j’espère palpitante et pleine d’émotions… puisque des amis m’ont demandé une suite…

Mais là, nous n’en sommes encore qu’au tout début début… Je vous invite à vous procurer ce kindle La baie de tous les seins… et j’espère que vous passerez un excellent moment en compagnie de Lucia et de ses amies…

Bonne lecture !

SereNad.

P.S. : Je vous rappelle qu’il suffit d’une simple application pour PC et autres appareils pour lire un livre en format kindle. Téléchargez une application gratuite ICI !

Qu’est-ce que le développement personnel ?

Enjoyment - free happy woman enjoying sunset

Lors du sondage, vous avez signifié que vous vouliez que je parle de développement personnel, donc nous y voici ! Il m’est impossible, en tant qu’art-thérapeute et relaxologue, de vous parler au niveau du mental, car ce mental nous éloigne bien trop souvent de notre coeur et de notre âme…

Mon expérience m’a fait comprendre que toutes les réponses à nos questions existentielles doivent passer par le coeur. C’est le meilleur chemin vers le développement personnel.

Voulez-vous savoir comment j’en suis arrivée à écouter cet extrait de « Conversation avec Dieu ? » que je partage avec vous aujourd’hui ? C’était si bizarre… Une drôle d’histoire de synchronicité…

Pour plusieurs raisons de mon actualité, j’étais assez anxieuse et je me posais tout un tas de questions à propos de mon avenir… Il est certaines circonstances qui réveillent de vieilles angoisses… Je discutais avec quelqu’un par mail et tout à coup, je lui ai écrit que j’allais converser avec Dieu, sur une boutade… Or, depuis plus d’un an, deux personnes m’ont parlé de ces livres et je n’avais jamais eu envie de les lire…

J’ai eu alors très envie d’aller sur Youtube pour voir si le film (que je savais être sur un autre site depuis au moins un an) était disponible. Quelqu’un, appelé « Angèle Lumière », avait publié le film entier le 13.09.2013. Nous étions le 23, le jour où j’ai posté mon sondage.

Je me sentais confuse et un peu désorientée, je l’avoue. Je me demandais pourquoi je mettais tant d’énergie ici et pour quel résultat, à quoi pouvait me servir d’avoir des visiteurs de tant de pays du monde que je ne visiterais sans doute jamais, alors que ma vie professionnelle me semble en ballottage et que je cherche ma juste place ici-bas, que je cherche à réussir en beauté, à avoir du plaisir dans ma vie, je me demandais à quoi me servaient tous ces dons que j’avais reçus à la naissance, pourquoi j’avais cette impression de m’éparpiller, etc…

J’ai regardé le film pendant 1h et 44 minutes, et dans le film, Neal WALSCH montre un journal édité un 23 Septembre… C’était trop bizarre !

Juste près le film, j’ai voulu visionner une vidéo avec Neal WALSCH qui durait à peine 7 minutes, puis j’ai voulu retourner vers le film, pour vérifier quelque chose.

Vous savez quoi ? Le film venait tout juste d’être supprimé alors que je venais de le voir en entier pendant plus d’une heure et qu’il était resté 10 jours en ligne !  Mais le message était bien là, écrit sur mon écran : « L’utilisateur a supprimé cette vidéo »… J’avais du mal à le croire, vu que je venais à peine de la visionner. J’ai encore vérifié, mais c’était bien vrai. J’étais peut-être la dernière personne à l’avoir vu par ce biais-là…

Cela m’a rendue très perplexe car, dès le début, ce film me questionnait et répondait à tout un tas de mes questions du moment, ce film me montrait mes pires cauchemars et j’entendais « C’est ça que tu veux dans ta vie ? Toi aussi, tu peux faire tes choix dans ta vie, mais choisis bien tes pensées ».

Il faut savoir que l’auteur a vécu une longue période en tant que SDF après un accident de la route, pour finalement se réveiller mentalement, décider qu’il ne mourrait pas dans un parc; il a fini par retrouver du travail, puis retourner au chômage et enfin écrire un livre, le fameux livre « Conversation avec Dieu » qui allait le sortir de la misère; l’auteur finissait par trouver la joie et le but de sa vie et partageait tout cela avec les autres…

Enfin, j’ai compris que ce film me parlait et que c’était bien que je le voie ce soir-là exactement à cause de toutes ces synchronicités ! Ecoutez un peu cette synthèse du livre, je vous assure que vous allez entendre des choses formidables pour votre développement personnel :

Je suis si heureuse d’avoir eu la réponse à mes questions d’une façon si synchrone, cela signifie que je converse vraiment avec Dieu et qu’il me répond ! Youpi ! 😉

Si vous ne saviez pas que j’étais un peu « perchée », là, c’est fait ! 🙂

Aujourd’hui plus qu’hier et bien moins que demain, je suis plus sereine et je compte bien prendre le contrôle de cette période de ma vie et continuer à entretenir la joie au plus profond de mon être, et bien sûr la partager avec d’autres, avec vous ! 🙂

Courage, nous sommes sur la bonne voie !

A très bientôt,

Nadège COMPPER.

P.S.  : Je viens de commander toute la série des livres « Conversation avec Dieu ». Voilà, c’est comme ça que j’ai toujours fait. J’ai une idée, un cheminement et je le suis, je travaille, j’étudie, je me laisse guider. Et je pense que je grandis petit à petit… Je sens que cela ne s’arrêtera jamais…

Lâcher prise, mais à propos de quoi ?

bouddha couchéAprès un texte sur le lâcher prise, je vous propose aujourd’hui un conte qui traite également de ce sujet, tant c’est un sujet important et encore d’actualité ! Comme souvent, j’ai juste mis en évidence certains mots importants…

Les Trois Portes de la Sagesse 

Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, généreux et intelligent. Pou parfaire son apprentissage de la Vie, il l’envoya auprès d’un Vieux Sage.

– Éclaire-moi sur le Chemin de la Vie, demanda le Prince.

– Mes paroles s’évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras trois portes. Lis les préceptes inscrits sur chacune d’elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t’en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t’en dire davantage. Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi.

Le Vieux Sage disparut et le Prince s’engagea sur le Chemin de la Vie. Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire: 

“Change le Monde.” 

C’était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d’autres ne me conviennent pas.

Et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir.

Il y trouva le plaisir et l’ivresse du conquérant, mais pas l’apaisement du coeur. Il réussit à changer certaines choses, mais beaucoup d’autres lui résistèrent.

Bien des années passèrent. Un jour, il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda:

– Qu’as-tu appris sur le chemin ?

J’ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m’échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n’en dépend pas.

– C’est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Ne t’acharne pas sur ce qui ne dépend pas de toi.

Et il disparut. Peu après, le Prince arriva devant une seconde porte. On pouvait y lire:

“Change les Autres.”

– C’était bien là mon intention, pensa-t-il . Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d’amertume et de frustration. Et il s’insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat.

Bien des années passèrent.

Un jour, alors qu’il méditait sur l’inutilité de ses tentatives de vouloir changer le autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda:

– Qu’as-tu appris sur le chemin ?

J’ai appris, répondit le Prince, que les agissements des autres ne sont pas la cause de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n’en sont que l’occasion ou le révélateur. C’est en moi que prennent racine toutes ces choses.

– Tu as raison, dit le Sage. Ce qui se réveille en toi quand tu es face aux autres te révèle quelque chose sur toi-même. Sois reconnaissant envers ceux en compagnie de qui tu sens vibrer en toi joie ou plaisir. Sois-le aussi lorsque émerge en leur présence la frustration ou la souffrance, car à travers cela la Vie te montre où tu en es et le chemin qui te reste à parcourir.

Et le Vieil Homme disparut. Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots:

 ”Change-toi toi-même.”

Si je suis moi-même la source de mes problèmes, c’est bien ce qui me reste à faire, se dit-il. Et il entama son troisième combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer en lui tout ce qui ne lui plaisait pas ou ne correspondait pas à son idéal.

Après bien des années de ce combat où il connut quelque succès mais aussi de nombreux déboires, le Prince rencontra le Sage qui lui demanda:

– Qu’as-tu appris sur le chemin ?

J’ai appris, répondit le Prince, qu’il y a en nous des choses qu’on peut améliorer, d’autres qui nous résistent et qu’on n’arrive pas à briser.

– C’est bien, dit le Sage.

– Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de me battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? Quand trouverai-je le repos? J’ai envie de cesser le combat, de renoncer, de lâcher prise.

– C’est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d’aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru. Et il disparut.

Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la troisième porte et s’aperçut qu’elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait:

 “Accepte-toi toi-même.”

Le Prince s’étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu’il avait franchi la porte la première fois, dans l’autre sens. Quand on combat, on devient aveugle se dit-il. Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu’il avait rejeté et combattu en lui: ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons. Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s’aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer.

Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda:

– Qu’as-tu appris sur le chemin ?

J’ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c’est me condamner à ne jamais être en harmonie avec moi-même. J’ai appris à m’accepter moi-même, totalement, inconditionnellement.

– C’est bien, dit le Vieil Homme, c’est la première Sagesse. Maintenant tu peux repasser la troisième porte.

À peine arrivé de l’autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut:

 “Accepte les Autres.”

Tout autour de lui il reconnut les personnes qu’il avait côtoyées dans sa vie. Celles qu’il avait aimées et celles qu’il avait détestées. Celles qu’il avait soutenues et celles qu’il avait combattues. Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir leurs imperfections, leurs défauts, ce qui autrefois l’avait tellement gêné et contre quoi il s’était battu.

Il rencontra alors le Vieux Sage.

– Qu’as-tu appris sur le chemin ? demanda ce dernier.

J’ai appris, répondit le Prince, qu’en étant en accord avec moi-même, je n’avais plus rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d’eux. J’ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement.

– C’est bien, dit le Vieux Sage. C’est la seconde Sagesse. Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte.

Arrivé de l’autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte et y lut:

 “Accepte le Monde.“

Curieux, se dit-il, que je n’aie pas vu cette inscription la première fois. Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu’il avait cherché à conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé par l’éclat et la beauté de toute chose. Par leur Perfection.

C’était pourtant le même monde qu’autrefois. Était-ce le monde qui avait changé ou son regard ?

Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda:

– Qu’as-tu appris sur le chemin ?

J’ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n’est ni triste ni gai. Il est là, il existe, c’est tout. Ce n’était pas le monde qui me troublait, mais l’idée que je m’en faisais. J’ai appris à l’accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement.

– C’est la troisième Sagesse, dit le Vieil Homme. Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde.

Un profond sentiment de Paix, de Sérénité, de Plénitude envahit le Prince. Le Silence l’habita.

– Tu es prêt, maintenant, à franchir le Dernier Seuil, dit le Vieux Sage, celui du passage du Silence de la Plénitude à la Plénitude du Silence.

 Et le Vieil Homme disparut.

 Charles Brulhart Janvier 2004

source : www.metafora.ch

Oui, nous devons encore et toujours, par le lâcher prise, aimer et nous aimer totalement et inconditionnellement.

Ce n’est certes pas un chemin facile mais entre nous, c’est un beau défi à relever ! J’essaie toujours, et surtout, quand je n’y arrive pas, je me pardonne ! C’est aussi cela, l’amour ! 🙂

Vous pouvez poursuivre votre route en lisant mon livre « Vivre la joie de respirer, respirer la joie de vivre », le bonheur étant selon mon expérience, fait de petits pas les uns après les autres, et une respiration à la fois, encore faut-il savoir respirer correctement…

A très bientôt,

Nadège COMPPER.